1 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
1 des vieilles formules », « tragique faiblesse du socialisme international », « échecs en Allemagne » et ailleurs ; échec auprès d
2 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
2 vie. Or nous voyons la même erreur héritée par le socialisme . La fausseté, la stérilité de notre mesure culturelle devait provoque
3 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
3 Du socialisme au fascisme (novembre 1936)ac Erreur française sur le fascisme
4 trop facile de répliquer que Mussolini a trahi le socialisme , plutôt qu’il ne l’a continué. La question véritable n’est pas là. E
5 veut exercer le pouvoir peut-il ne pas trahir le socialisme  ? Et du moment qu’il le trahit, peut-il faire autre chose que du fasc
6 istes, ne sont en fait que le terme fatal de tout socialisme appliqué ou, ce qui revient au même, de tout échec du socialisme en t
7 iqué ou, ce qui revient au même, de tout échec du socialisme en tant que tel. Historiquement (sinon théoriquement) les dictatures
8 ont en avance — on n’ose dire en progrès — sur le socialisme . Elles sont le « dépassement » hégélien, — c’est-à-dire en même temps
9 is c’est Hitler qui prend ses meilleures armes au socialisme . Enfin, pour liquider les derniers bolchevistes — avec un peu de reta
10 e la « gauche ». Le national-socialisme est le socialisme total Le secret de la « réussite » de tous ces hommes est simple.
11 ous ces hommes est simple. Ils ont compris que le socialisme économique n’était que la moitié d’une doctrine. Ils ont compris qu’o
12 inomique. Ils sont exactement complémentaires. Le socialisme est une « nationalisation » de l’économie ; le nationalisme est une «
13 — me comprendront… ac. Rougemont Denis de, « Du socialisme au fascisme », L’Ordre nouveau, Paris, novembre 1936, p. 18-22.