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Suisse — c’est-à-dire qu’on écarte brutalement la
solution
fédéraliste qui seule eût pu permettre l’établissement normal de cett
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mmes contenté d’indiquer au passage l’exemple des
solutions
fédéralistes qui furent réalisées à l’étranger.) Mais nous avons voul
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it ni de droite ni de gauche, mais qui apporte la
solution
des problèmes qui se posent concrètement, au lieu de se perdre à rech
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c les corporations locales est la seule et unique
solution
qui ait été envisagée en France, jusqu’ici. Si incroyable que cela pa
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e destruction imbécile ? Lui. — Et alors, quelle
solution
proposez-vous ? Écrire des articles pacifistes, ou traîner dans les c
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essité des conflits humains. Mais il y a d’autres
solutions
que la guerre. Faire valoir toutes les différences, tous les contrast
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iens à notre problème de la guerre en soi. Quelle
solution
donnez-vous à cette question de l’utilisation des forces obscures, br
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moderne. Nous nions que la guerre soit jamais une
solution
, étant donnés ses instruments actuels. Nous voulons une guerre créatr
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ses causes. Enfin, il définit sans équivoques la
solution
proposée par le néo-marxisme à cette crise. En gros, nous ne pouvons
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le sens d’abstention. Et l’on prévoit déjà une «
solution
diplomatique » des affaires d’Espagne. Rideau. Dividendes. Monopole d
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uellement du fait de la carence des tentatives de
solutions
qu’on a voulu historiquement lui donner. Conscience vague, sans doute