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fit bâtir de nouvelles villes, qui leur donna le
spectacle
d’un si prodigieux peuple proscrit, nu, fugitif, errant sans crime… e
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tifascistes n’oserait pas même imaginer. C’est un
spectacle
vraiment consternant que celui de ces hommes de bonne volonté sans vo
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me de gauche est renforcé dans sa croyance par le
spectacle
des sympathies plus ou moins affichées par la droite — qui se trompe
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le de Pierre Gardère sur Anacharsis Cloots et les
spectacles
jacobins, qu’on a pu lire dans notre numéro d’avril 1936.) L’analogie
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et les passions absentes de son existence. Et le
spectacle
mélodramatique offert par la cour impériale sert de substitut à toute
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de tels truismes. Mais on y est bien forcé par le
spectacle
de l’intelligentsia française. Précisons donc encore : la première t