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phrases que nous citons ci-dessus définissent une
tactique
de groupe dont il est impossible de ne pas souligner l’exacte similit
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e de ne pas souligner l’exacte similitude avec la
tactique
de l’Ordre nouveau Quand on nous reproche, de divers côtés, de nous
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s critiques : 1° Lénine a triomphé en vertu d’une
tactique
qui n’avait rien de « marxiste » au sens courant et vulgarisé du term
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ens courant et vulgarisé du terme, — alors que la
tactique
proprement marxiste, qui fut celle du communisme allemand, a conduit
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isme léniniste. On nous dira maintenant que cette
tactique
léniniste a conduit 16o millions d’hommes à l’esclavage du travail ét
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erons observer que Lénine, le premier, a trahi sa
tactique
dès qu’il est arrivé au pouvoir. Cela était fatal ; cette tactique en
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l est arrivé au pouvoir. Cela était fatal ; cette
tactique
en effet, s’il faut le répéter, n’avait rien de spécifiquement marxis
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s le sens personnaliste. C’est le hiatus entre la
tactique
de combat avant la prise de pouvoir et les buts collectivistes du gou
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les trahisons. À nous de reprendre maintenant une
tactique
qui n’est défendable jusqu’au bout que par des révolutionnaires perso
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on mépris de l’homme concret devait imprimer à la
tactique
de Lénine. C’est ainsi — pour ne mentionner qu’un exemple — que nous
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rands efforts pour démontrer théoriquement que sa
tactique
devait en fin de compte favoriser la lutte des classes. Mais on ne pe
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tique ». n. Rougemont Denis de, « Un exemple de
tactique
révolutionnaire chez Lénine », L’Ordre nouveau, Paris, janvier 1935,