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nt en action. Nous tenons donc pour une nécessité
vitale
de passer, dès maintenant, à la construction d’un ordre qui implique
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e que de soumettre les institutions aux exigences
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de la personne concrète. IV — Aucune confusion ne nous paraît dès l
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cret, c’est-à-dire l’homme engagé dans le conflit
vital
qui l’unit et l’oppose à son prochain. La personne, c’est l’homme en
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obtenir l’unanimité de la nation sur une question
vitale
. La « lutte électorale » revenait ainsi à la lutte du parti au pouvoi
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ne que nous voulons assurer à chacun un « minimum
vital
», c’est-à-dire une base matérielle de départ. (D’où notre définition
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ées à la position d’Esprit les notions de minimum
vital
intérieur et européen, de service civil (appelé ici service public),
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institutions principales — service civil, minimum
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… — soient gérées par l’État de manière à fonctionner effectivement da