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ues et les significations révolutionnaires. Je ne
voudrais
insister maintenant que sur son caractère de jugement du système. Les
2
rine réputée révolutionnaire, le marxisme. Or, je
veux
une révolution. Donc, je me fais marxiste. » Qu’on ne croie pas à une
3
e promesse nouvelle de communion humaine. On s’en
voudrait
de condamner en trois formules une démarche qui entraîne à l’origine
4
té » de la pensée : ils croient à l’Histoire. Ils
veulent
que l’esprit se perde dans l’époque collectiviste, afin de se retrouv
5
s qui sont nés avant 1850, on ne peut pas leur en
vouloir
. Il y a des gens qui ont le cœur à gauche et qui croient y voir une i
6
er du capitalisme effraye ou indigne, mais qui ne
veulent
pas pour autant renoncer à la « culture » bourgeoise ni au pavillon d
7
. Car des deux attitudes proprement socialistes :
vouloir
réformer le capitalisme en louchant vers les thèses marxistes ; voulo
8
pitalisme en louchant vers les thèses marxistes ;
vouloir
préparer une révolution en louchant vers « l’aisance » bourgeoise, —
9
isque plus rien du charnel et du temporel, qui ne
veut
, qui ne peut plus rien risquer. Entre le spirituel et le temporel, il
10
Quand nous disons « spirituel d’abord », nous ne
voulons
pas qu’on entende intellectuel, idéaliste, clérical, ni surtout « spi
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re personnalisme. Le spirituel de L’Ordre nouveau
veut
être humain et rien qu’humain. Certes, il transcende l’égoïsme indivi
12
té, que la dégradation d’un spirituel qui n’a pas
voulu
s’accomplir dans l’actualité concrète. Que l’esprit pur et les purs e
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IX. Que d’autres nous reprochent, maintenant, de
vouloir
sauvegarder des situations acquises, ou encore de vouloir « détourner
14
sauvegarder des situations acquises, ou encore de
vouloir
« détourner les forces prolétariennes », — ils savent peut-être ce qu
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tagonismes naturels féconds et créateurs que nous
voulons
éliminer les antagonismes artificiels et destructeurs que fait naître
16
urent néanmoins d’ordre strictement politique. On
voulait
un système fondé sur l’homme-en-général. On se battit pour ce système
17
l. Elles cherchent à humaniser les hommes. Elles
veulent
l’union par et dans la diversité créatrice. Fortes de leur souplesse,
18
ns que le milieu inerte lui propose ou que l’État
veut
lui imposer. Le héros véritable, la personne dans sa pureté, c’est l’
19
t systématique des antagonismes. La paix que nous
voulons
, l’ordre que nous voulons, la solidarité que nous voulons se fondera
20
ismes. La paix que nous voulons, l’ordre que nous
voulons
, la solidarité que nous voulons se fondera sur cette affirmation anti
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l’ordre que nous voulons, la solidarité que nous
voulons
se fondera sur cette affirmation antiégalitaire, personnaliste, et pa
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contemporain, nous disons simplement ceci : nous
voulons
que l’homme redevienne responsable de son destin particulier. Avoir u
23
par cette attaque. C’est à leur intention que je
veux
préciser ici un point fondamental de nos doctrines. Ceux qui nous pos
24
iat » personnaliste. On s’occupera d’eux en temps
voulu
: il y a là un problème de rééducation qui fait l’objet de nos travau
25
ente, la révolte et l’impuissance. La société que
veut
L’Ordre nouveau a pour mesure fondamentale cette réalité de la person
26
xpression suprême s’appelle l’État. Là où l’homme
veut
être total, l’État ne sera jamais totalitaire. 10. Et parmi eux, la
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se à cette mécanique qu’hier encore… Mais nous ne
voulons
pas ironiser trop facilement. Prenons-les à titre d’exemple, entre vi
28
’autre. Nous ne sentons plus comme cela ; nous ne
voulons
plus de cette résignation. » Il y aurait bien des choses à compléter
29
contre-révolution. Tout élan révolutionnaire qui
veut
s’appuyer sur l’État aboutit à la dictature, s’arrête à mi-chemin de
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te, les prochaines évolutions des « néos ». S’ils
veulent
entraîner la jeunesse, qu’ils se disent bien que la condition nécessa
31
sionnel et régional ». Nous avons parlé dans Nous
voulons
du Conseil économique fédéral dont nous avons même essayé de détermin
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itique et le spirituel, confusion inconsciente ou
voulue
, mais trop grave pour que nous ne la dénoncions point. Du chapitre su
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olitiques… » N’est-ce pas touchant ? Mais je m’en
voudrais
de chercher les poux dans ce Plan qui est condamné à sombrer dans l’i
34
ce plan n’est qu’un programme minimum. Mais nous
voulons
, nous, un programme maximum ! Nous voulons une reprise à la base, à l
35
s nous voulons, nous, un programme maximum ! Nous
voulons
une reprise à la base, à la racine de tous les problèmes. Nous savons
36
gue est purement politique, administratif si l’on
veut
. Au point de vue économique, il se réduit à la défense du bas de lain
37
de nationalisme et d’impérialisme. 15. Cf. Nous
voulons
, n° 9 de L’Ordre nouveau, appendice, p. v et vi. 16. Cf. Nous voulon
38
dre nouveau, appendice, p. v et vi. 16. Cf. Nous
voulons
, op. cit., appendice, p. vii. 17. Voir aussi, au sujet du service ci
39
ice d’un idéal mythique et vaguement défini. Nous
voulons
être, et nous serons de plus en plus, un ordre, une communauté de per
40
une part les fonctionnaires. Ils ne pensent et ne
veulent
rien enseigner, rien savoir d’autre que ce que l’État, la classe, ou
41
vivante d’une civilisation. Par « mesure », nous
voulons
désigner le principe normatif d’une civilisation ; non point toujours
42
s nul autre attribut. Nous avons défini dans Nous
voulons
23 le rôle de cette cellule-mère, « organisme d’appel et de vigilance
43
que. Méconnaissance de réalités spirituelles. Que
voulaient
en effet les ligueurs ? L’anéantissement de la puissance politique de
44
t de la puissance politique de la Réforme. Et que
voulaient
les calvinistes ? Le libre exercice de leur culte. Or, l’édit, en don
45
i furent réalisées à l’étranger.) Mais nous avons
voulu
souligner fortement, par un exemple à peu près idéal, le sens du déte
46
re, on ne voit guère à droite que ce colonel. Que
veut
-il ? Un petit volume paru l’hiver dernier, Service public, nous l’a m
47
ions à notre tour du reproche de fascisme dont on
veut
accabler tant de braves républicains. Ceci fait, nous pourrons sans é
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qui ne sait pas où il va ? » (Robert Aron) Qui ne
veut
même pas le savoir ? Car M. de la Rocque, au lieu de s’expliquer, com
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bien où il va. Mais quelqu’un qui savait ce qu’il
voulait
, Lénine — et avec lui toute l’histoire des révolutions réussies — rép
50
action » ne peut être rien d’autre, et quoi qu’il
veuille
, qu’un second 6 février. Ce serait ici le lieu de rappeler le grand p
51
c’est l’affaire du Parti communiste. Or, ce parti
veut
bien la liberté, mais d’une manière tant soit peu différente. Il veut
52
, mais d’une manière tant soit peu différente. Il
veut
, sous le nom de liberté, la dictature, l’étatisme et la guerre. La gu
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masse croissante d’hommes qui savent ce qu’ils ne
veulent
pas : la guerre, l’anarchie capitaliste, la dictature, le Comité des
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ns au fait. Je vous disais l’autre jour : Comment
voulez
-vous que les Français ne vous accusent pas d’ardeur belliqueuse, quan
55
pour la paix ? Voyez la différence : quand Briand
voulait
soulever l’enthousiasme des Français, il « déclarait la Paix » au mon
56
tre conception du monde dans la mesure où elle se
veut
héroïque, comme celle des fascistes d’ailleurs, ou même comme celle d
57
ême comme celle des jeunes Russes communistes. Je
voudrais
bien que la jeunesse française se montre un peu plus héroïque, moins
58
es différences et des oppositions naturelles pour
vouloir
les anéantir. Nous sommes fédéralistes, c’est-à-dire que nous voulons
59
. Nous sommes fédéralistes, c’est-à-dire que nous
voulons
que toutes les différences s’exaltent mutuellement par leur oppositio
60
t armé » est une menace pour la paix, que vous le
vouliez
ou non. Lui. — Ach ! C’est uniquement pour notre éducation intérieur
61
Vous savez bien que nous n’avons aucune raison de
vouloir
la guerre contre la France. Qu’aurions-nous à y gagner, je vous le de
62
me… Moi. — Nous ne la laissons pas de côté. Nous
voulons
la transposer sur un plan autre que celui de la guerre moderne. Nous
63
ution, étant donnés ses instruments actuels. Nous
voulons
une guerre créatrice, et non pas destructrice. Tout l’effort de la ci
64
— S’en donner à cœur joie ! Ou à mort, plutôt… Je
veux
bien, pourvu que ce ne soit pas en France. Mais je vous répondrai plu
65
e. Lui. — Je vous souhaite bonne chance ! Moi. —
Voulez
-vous que nous parlions, une autre fois, de la nécessité d’une morale
66
euilleton sur les titres qu’il voit annoncés : on
veut
se tenir « au courant ». Un critique trop soucieux de justice passera
67
ses fatalités, même s’il arrive de Moscou. ⁂ Sans
vouloir
préciser ici les modalités du régime de l’édition dans une société ON
68
-il, il faut que cette opinion existe. Or comment
voulez
-vous vous faire une opinion quand il y a 46 partis qui sollicitent vo
69
nge est la meilleure excuse à ce mépris. Pourquoi
voudrait
-on que les foules aient plus de respect pour le spirituel que les éli
70
Paul Valéry : « Le pouvoir n’a que la force qu’on
veut
bien lui attribuer : même le plus brutal est fondé sur la croyance. »
71
II, p. 233. Valéry écrit au même endroit : « … je
voudrais
vous montrer comment le pouvoir lui-même, qui passe pour un effet de
72
t, c’est une peste, et tous les raisonnements qui
voudraient
nous y engager sont de misérables sophismes. Mais si la politique dev
73
phismes. Mais si la politique devient ce que nous
voulons
qu’elle soit, la question d’en faire ou de n’en pas faire ne se pose
74
et l’esprit de leurs institutions. Mais ceux qui
veulent
des techniciens, des ingénieurs et des banquiers dans les conseils de
75
vertu de notre conception de la personne que nous
voulons
subordonner l’État à la liberté créatrice de ceux qui forment la nati
76
vertu de notre conception de la personne que nous
voulons
assurer à chacun un « minimum vital », c’est-à-dire une base matériel
77
vertu de notre conception de la personne que nous
voulons
restaurer le sens de la mission nationale des Français47. C’est en ve
78
’action juste et bienfaisante ? Et si personne ne
veut
plus s’occuper de la vérité, sous prétexte que le mensonge a plus de
79
es « réalistes » ? Nous nous adressons à ceux qui
veulent
en sortir, et non pas aux syndics de faillites, ni aux faillis qui se
80
« intellectuels », certes, dans ce sens que nous
voulons
nous servir aussi de notre intelligence pour travailler à mettre en m
81
re plus simplement, à ceux qui nous reprochent de
vouloir
une politique vraie, et même intelligente : — Continuez donc ! Milite
82
jeunesse. — Mais si vous n’aimez pas ça, si vous
voulez
en sortir, réfléchissez, examinez notre doctrine. Et ne vous contente
83
ez pas de traiter de « fascistes » des hommes qui
veulent
subordonner l’État aux libertés — ce qui est l’inverse de l’effort fa
84
ffort fasciste — ni de communistes des hommes qui
veulent
la liberté de l’esprit. 8. Les grandes politiques naissent de grandes
85
me des politiques démesurées. Il y a le Japon qui
veut
dominer sur l’Asie ; il y a l’URSS qui veut faire mieux que l’Amériqu
86
n qui veut dominer sur l’Asie ; il y a l’URSS qui
veut
faire mieux que l’Amérique et qui ne demande rien de moins à ses ingé
87
t que par des injures à mes observations, ce sera
vouloir
m’inspirer la vanité de croire qu’il n’y a que des injures à y répond
88
et la distinction entre autorité et pouvoir. Nous
voulions
simplement, à la dernière minute, souligner des promesses d’accord au
89
r cette phrase en Italie ou en Allemagne, si vous
voulez
amuser le monde. Mais la politique étrangère ne suppose pas, en Franc
90
se poser dans ces termes : un chef socialiste qui
veut
exercer le pouvoir peut-il ne pas trahir le socialisme ? Et du moment
91
ble sans l’autre. Tout étatisme est condamné à se
vouloir
franchement totalitaire, sinon c’est l’échec assuré. (Nous sommes en
92
ième degré, les autres déjà au troisième. Et l’on
voudrait
nous voir prendre parti ? L’aboutissement pratique du socialisme56 —
93
ue du mal capitaliste (janvier 1937)ae af On a
voulu
, parfois, identifier le phénomène capitaliste à la civilisation occid
94
p tard. Rome tout entière, plèbe et patriciat, ne
veut
plus vivre que de ses rentes, c’est-à-dire de l’exploitation capitali
95
rien que la source de main-d’œuvre. Si le pauvre
veut
s’élever, il n’a qu’un seul moyen : entrer dans la domesticité des ri
96
e philosophique. Mieux comparé : tout ce que l’on
voudra
qui évoquerait l’état d’esprit des explorateurs pendant les « reconna
97
des plus lourdes farces de l’Histoire, puisqu’ils
veulent
les uns et les autres la même forme d’État totalitaire, notons que la
98
de la carence des tentatives de solutions qu’on a
voulu
historiquement lui donner. Conscience vague, sans doute, et obscure,
99
rtout d’« actes révolutionnaires » (révolution ne
veut
-il pas dire : choses nouvelles ?). D’autre part, s’en remettre délibé
100
stence d’une commune mesure dans la société. Sans
vouloir
entrer ici dans l’étude détaillée de cette idée de commune mesure, po
101
confronte avec l’attitude créatrice de l’homme. À
vouloir
l’en séparer, on aboutit à fabriquer ces mythes qui ont nom race, peu
102
nulle, mais dont la valeur symbolique (ou, si on
veut
, de fétiche) fut énorme. Au contraire, à vouloir prendre une déclarat
103
on veut, de fétiche) fut énorme. Au contraire, à
vouloir
prendre une déclaration inaugurale pour un principe régulateur donné
104
çaise qui approche ? Il serait malaisé et naïf de
vouloir
le prédire dès maintenant. Par contre, peut-être est-il possible d’in
105
nécessaire, il serait même totalement absurde, de
vouloir
imposer une mesure commune extérieure et unifiée à une fédération don
106
luttes et des vrais engagements. 78. Baudelaire
voulait
que la critique des poètes — qu’il opposait à celle des philosophes l