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ose la pensée et l’action jusque sur le plan de l’
éthique
. Or, un homme qui professe cette distinction — essentiellement modern
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urs générations2 cultivèrent ce défaut d’exigence
éthique
comme la garantie d’une certaine douceur de vivre. Penser devint l’ar
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pages, celui que l’on voudrait nommer l’a priori
éthique
. Kierkegaard, après avoir formulé la « monstrueuse contradiction » mo
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soudain : « Cela ne viendrait-il pas de ce que l’
Éthique
possède en soi une certitude ? Il existerait alors une chose au moins
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ute ne pourrait atteindre. » Mais qu’est-ce que l’
Éthique
? — Question non éthique, et qui manifeste seulement l’égarement du t
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. » Mais qu’est-ce que l’Éthique ? — Question non
éthique
, et qui manifeste seulement l’égarement du temps. « L’Éthique ne comm
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qui manifeste seulement l’égarement du temps. « L’
Éthique
ne commence pas dans une ignorance qu’il faudrait muer en savoir, mai
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vent se situer à égale distance de la réalisation
éthique
, et se confondre dans la même insignifiance, quoique de signes contra
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ceux dont l’œuvre détermine en nous une réaction
éthique
, c’est-à-dire une réalisation. On veut faire voir par ces exemples qu
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et avec plus de conséquence6. C’est le drame de l’
éthique
individuelle, — une affaire d’amour, une affaire de la solitude. Une