1 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
1 oderne. « Depuis Descartes, ils ont tous cru, dit Kierkegaard , que si longtemps qu’ils pussent douter, si longtemps qu’ils fussent
2 elui que l’on voudrait nommer l’a priori éthique. Kierkegaard , après avoir formulé la « monstrueuse contradiction » moderne, conclu
3 maine déchirée entre le Temps et l’Éternité. 1. Kierkegaard  : « Conclusion peu scientifique à la Philosophie en miettes. » 2. Co
4 ncipe de l’action collective. 4. Les attaques de Kierkegaard contre la philosophie dialectique de l’histoire, d’où Marx, Engels et
2 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
5 de Marx, les autres de Proudhon ; de Hegel ou de Kierkegaard  ; de la Raison sous ses formes violentes et créatrices, ou de la Foi.
3 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
6 ne furent pas moins violemment contradictoires : Kierkegaard , dans ce même siècle. Mais les contradictions de Kierkegaard renvoien
7 , dans ce même siècle. Mais les contradictions de Kierkegaard renvoient dans leur ensemble à l’unité suprême, celle de la foi. Elle
8 e la nature même de la foi — telle que la conçoit Kierkegaard — que la vie, la pensée, la souffrance du chrétien soient sous-tendue
9 nnes absolues, telles que les pose par exemple un Kierkegaard . Mais il y a cette différence capitale : que toutes les négations (an
10 pitale : que toutes les négations (antithèses) de Kierkegaard se fondent dans l’acte de foi originel (synthèse), et qu’alors même q