1
oderne. « Depuis Descartes, ils ont tous cru, dit
Kierkegaard
, que si longtemps qu’ils pussent douter, si longtemps qu’ils fussent
2
elui que l’on voudrait nommer l’a priori éthique.
Kierkegaard
, après avoir formulé la « monstrueuse contradiction » moderne, conclu
3
maine déchirée entre le Temps et l’Éternité. 1.
Kierkegaard
: « Conclusion peu scientifique à la Philosophie en miettes. » 2. Co
4
ncipe de l’action collective. 4. Les attaques de
Kierkegaard
contre la philosophie dialectique de l’histoire, d’où Marx, Engels et
5
de Marx, les autres de Proudhon ; de Hegel ou de
Kierkegaard
; de la Raison sous ses formes violentes et créatrices, ou de la Foi.
6
ne furent pas moins violemment contradictoires :
Kierkegaard
, dans ce même siècle. Mais les contradictions de Kierkegaard renvoien
7
, dans ce même siècle. Mais les contradictions de
Kierkegaard
renvoient dans leur ensemble à l’unité suprême, celle de la foi. Elle
8
e la nature même de la foi — telle que la conçoit
Kierkegaard
— que la vie, la pensée, la souffrance du chrétien soient sous-tendue
9
nnes absolues, telles que les pose par exemple un
Kierkegaard
. Mais il y a cette différence capitale : que toutes les négations (an
10
pitale : que toutes les négations (antithèses) de
Kierkegaard
se fondent dans l’acte de foi originel (synthèse), et qu’alors même q