1 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
1 lle est la loi du monde, et il est admirable de l’ aimer . Et la pensée n’est point soustraite à cette loi, non, la pensée même
2 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
2 e misère d’une époque où tout ce qu’un homme peut aimer et vouloir se trouve coupé de son origine vivante, flétri, dénaturé,
3 1933, Présence, articles (1932–1946). Paysage de tête : poème (1933)
3 gard ni d’une lueur muette qui s’approche et nous aime . Car voici l’heure de la solitude et l’origine d’un mutisme sombre et
4 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
4 ’est encore que le désespoir de celui qui ne peut aimer  : hommage déguisé de l’angoisse à l’« altruisme » véritable. Tout bie
5 1946, Présence, articles (1932–1946). Le Nœud gordien renoué (avril 1946)
5 y laisser prendre, c’est-à-dire de connaître ou d’ aimer . ⁂ On ne peut opposer au mythe du Nœud gordien que l’histoire du Nœud