1
lle est la loi du monde, et il est admirable de l’
aimer
. Et la pensée n’est point soustraite à cette loi, non, la pensée même
2
e misère d’une époque où tout ce qu’un homme peut
aimer
et vouloir se trouve coupé de son origine vivante, flétri, dénaturé,
3
gard ni d’une lueur muette qui s’approche et nous
aime
. Car voici l’heure de la solitude et l’origine d’un mutisme sombre et
4
’est encore que le désespoir de celui qui ne peut
aimer
: hommage déguisé de l’angoisse à l’« altruisme » véritable. Tout bie
5
y laisser prendre, c’est-à-dire de connaître ou d’
aimer
. ⁂ On ne peut opposer au mythe du Nœud gordien que l’histoire du Nœud