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isant le principe de l’action collective. 4. Les
attaques
de Kierkegaard contre la philosophie dialectique de l’histoire, d’où
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créatrice 8. Et comment se défendre, sinon par l’
attaque
? Sinon par l’affirmation de l’identité nécessaire de la pensée et de
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pas n’existe pas ; mais toute résistance est une
attaque
. Exister en résistant, c’est exclure. Toute vie, toute existence indi
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et c’est pourquoi il faut lutter contre celui qui
attaque
, parce que sa nature même veut qu’il ne puisse être possédé que d’une
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gatif du dogmatisme mort de ses contemporains. Il
attaque
à droite et à gauche, utilisant tantôt la droite contre la gauche, ta
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roite. Il ne quitte pas le plan des erreurs qu’il
attaque
. Il ne fait guère qu’y introduire une intensité délirante. C’est là s
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« Femmes » dans les Œuvres posthumes : tantôt il
attaque
ceux qui idéalisent la femme, tantôt ceux qui l’animalisent. Il formu
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ietzschéennes portant sur les valeurs morales. Il
attaque
l’altruisme, et démasque dans cette « vertu » les effets du « ressent