1
moderne, conclut par un renversement soudain : «
Cela
ne viendrait-il pas de ce que l’Éthique possède en soi une certitude
2
rs seul. Par définition. Quant au bourgeois seul,
cela
ne se peut concevoir, n’a jamais existé5. Le bourgeois n’étant donc j
3
ublis feints et de brusques retours. Il faut tout
cela
, et les mille petites souffrances de la souffrance, pour qu’une idée
4
n voudrait dire — mais ce n’est pas si simple que
cela
— qu’il faut avaler les idées7, et qu’une idée qui ne peut être masti
5
ligé de rédiger lui-même ses discours-programmes,
cela
se sent toujours : il y manque cette espèce de rhétorique prudente à
6
timent blessé que ces jeunes gens se sont connus.
Cela
crée le sous-entendu fondamental. Ensuite on confronte les buts et le
7
buts et les moyens inséparables de ces fins. Tout
cela
nous dépasse et se meut sur un plan où la vanité chercherait en vain
8
ère, — la « Frau Sorge » de notre Goethe. De tout
cela
nous ne sommes plus, n’appartenant plus à la mort, mais au combat de
9
n action, par sa pensée critique ou créatrice, et
cela
pour des motifs d’ordre uniquement humain, on doit être certain qu’il
10
on, et souvent une lâcheté. (En termes distingués
cela
s’appelle scrupule.) Quand donc cessera-t-on, chez nous, d’opposer à
11
calvinisme ? (Comme si nous étions calvinistes !)
Cela
dit, l’imprudence de mon article sur Nietzsche demeure visible, au po
12
ard, elle dit : — Ce n’est pas si ressemblant que
cela
! (Elle croyait que son mari ne s’occupait que d’elle.) Et tant d’aut