1 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
1 e durer malgré la qualité médiocre des matériaux. Ces principes constituaient l’instruction réelle, sinon concertée, de la
2 que des bétonnages. On n’en retiendra qu’un dans ces pages, celui que l’on voudrait nommer l’a priori éthique. Kierkegaard
3 quer le poteau. L’on s’en rend compte en écrivant ces lignes, et qu’il y a peu de mérite, pour l’heure, à récuser une pensé
4 ivé que sa culture dispense de penser. En vérité, ces gens-là n’ont jamais pensé. N’ont fait que de la classification avec
5 ntraires. Poursuivant cette opposition au-delà de ces caractéristiques devenues banales, on tente de la ramener à celle des
6 st-à-dire une réalisation. On veut faire voir par ces exemples qu’il ne s’agit nullement d’« applications », comme le voudr
7 astiquée, puis avalée, n’a pas plus de valeur que ces melons en carton qu’on voit aux étalages. Il y a plusieurs façons d’a
2 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
8 e qu’une lettre. « Présence » et « réalisation », ces deux thèmes de ton enquête sur l’Humanisme, je les nouerai dans le se
9 pareilles et de sursauts du sentiment blessé que ces jeunes gens se sont connus. Cela crée le sous-entendu fondamental. En
10 confronte les buts et les moyens inséparables de ces fins. Tout cela nous dépasse et se meut sur un plan où la vanité cher
11 rd, Emmanuel Mounier), ceux encore qui, venant de ces groupes, collaborent à Plans avec Philippe Lamour (Alexandre Marc, Re
12 rêter une libérale complaisance. Laisse donc tous ces noms dont se meublent les notes de ton enquête, comme de guéridons dé
3 1933, Présence, articles (1932–1946). Paysage de tête : poème (1933)
13 i des pièges au vol lourd, des faulx de larmes et ces battements de paupières plus terribles que l’orage, ces battements d’
14 ttements de paupières plus terribles que l’orage, ces battements d’espace au-dessus des pluies qui se tirent à l’horizon da
4 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
15 itique les mêmes méthodes de synthèse. En vérité, ces deux ouvrages sont dans le prolongement nécessaire du Proust, et c’es
16 a personne contre l’envahissante prolétarisation. Ces deux livres sont au début de quelque chose. On serait tenté de dire :
17 stions de droit, sur le régime du travail. Toutes ces recherches le conduisaient au grand ouvrage dont le premier volume vi
18 nt à l’assaut d’une Europe décadente, il ajoutait ces quelques phrases d’une sobre grandeur : En dépit d’un préjugé romant
5 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
19 sans que jamais un centre vif ne soit rendu, par ces éclairs croisés, visible. C’est pourquoi sa pensée, dans son ensemble
20 t corrodée par le réactif qu’elle secrète, toutes ces évaluations rageusement neutralisées, il nous reste de Nietzsche sa r
6 1946, Présence, articles (1932–1946). Le Nœud gordien renoué (avril 1946)
21 bien que pour nouer un lien solide, il faut tous ces retours et ces tours illogiques, cette intrication sans espoir, ces r
22 nouer un lien solide, il faut tous ces retours et ces tours illogiques, cette intrication sans espoir, ces replis infinis q
23 tours illogiques, cette intrication sans espoir, ces replis infinis qui défient le calcul. Car une coupe transversale prat