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y peut contenter de vraisemblance. La monstrueuse
contradiction
! Comme s’il n’était pas bien pire de commettre un acte qui vous lais
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prétendre quelque chose. »1 Cette « monstrueuse
contradiction
» règne au cœur du monde moderne, et la « pensée » bourgeoise a réuss
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Kierkegaard, après avoir formulé la « monstrueuse
contradiction
» moderne, conclut par un renversement soudain : « Cela ne viendrait-
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première rencontre avec Dandieu, par l’apparente
contradiction
entre sa face et son profil, je veux dire par la tension que son visa
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. Son œuvre nous apporte un dossier exhaustif des
contradictions
révoltantes qui figurèrent la bonne conscience d’une élite, et par là
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ires : Kierkegaard, dans ce même siècle. Mais les
contradictions
de Kierkegaard renvoient dans leur ensemble à l’unité suprême, celle
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ouffrance du chrétien soient sous-tendues par des
contradictions
destructrices de l’humain, créatrices du divin, c’est-à-dire de « l’h
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n plus dans la forme du siècle présent. Mais les
contradictions
de Nietzsche ne renvoient justement qu’à cette forme du monde qui pro