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ographique que nous devons de pouvoir trancher le
débat
sans risquer le poteau. L’on s’en rend compte en écrivant ces lignes,
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nt aux prises : qu’on les laisse donc seules à ce
débat
silencieux et obscur comme les ruses de la volupté, à ce jeu serré de
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profonde qui ait divisé le xixe . Tous les autres
débats
du siècle perdent leur aiguillon si on les y compare ; et se réduisen