1 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
1 st pas « la mettre à exécution » — la condamner à mort , autant dire, et l’extirper de son être, fût-ce pour l’introduire dan
2 ix. Combien d’étreintes, de blessures, combien de morts , de retours et de morts encore, jusqu’à ce que l’esprit enfin brisé s
3 de blessures, combien de morts, de retours et de morts encore, jusqu’à ce que l’esprit enfin brisé s’abandonne comme on oubl
2 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
4 cela nous ne sommes plus, n’appartenant plus à la mort , mais au combat de ce qui meurt et de ce qui renaît par cette mort. L
5 bat de ce qui meurt et de ce qui renaît par cette mort . La neurasthénie broie les villes, où nous sommes peut-être seuls à c
3 1933, Présence, articles (1932–1946). Paysage de tête : poème (1933)
6 a transparence, l’épouvantable constatation de la mort . d. Rougemont Denis de, « Paysage de tête », Présence, Lausanne et
4 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
7 L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)e La vie d’Arnaud Dandieu s’exprime tout en
8 a qualité du dynamisme qu’il suscitait, et il est mort l’été dernier, dans cet élan qui va s’épanouir. Ce révolutionnaire ét
9 nt l’accident chirurgical qui devait entraîner sa mort , à 36 ans, il avait ajouté de sa main, sur les épreuves de son dernie
10 é romantique, la décadence n’est pas belle, ni la mort . Ce qui est beau, c’est la lutte contre la mort. Ce qui est grandiose
11 a mort. Ce qui est beau, c’est la lutte contre la mort . Ce qui est grandiose, c’est la victoire de l’homme. Le long des côte
12 sée ? « Allons-y » pour voir, coûte que coûte… Sa mort , qui nous pousse en avant, fut pour lui, peut-être, une réponse. Non
13 fut pour lui, peut-être, une réponse. Non pas une mort édifiante. Mais une découverte éblouie — pascalienne. « Euphorie abso
14 visage. e. Rougemont Denis de, « L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu », Présence, Lausanne et Genève, 1933–1934, p. 57-59
5 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
15 z Nietzsche est le sinistre négatif du dogmatisme mort de ses contemporains. Il attaque à droite et à gauche, utilisant tant
16 à la plus radicale dévaluation de la vie et de la mort que son siècle ait pu concevoir, et qu’il fut seul sans doute, dans c
6 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
17 ie pardon, rémission des péchés et de la peine de mort qu’ils entraînent, c’est-à-dire, en un mot : Jésus-Christ15. Dogmatiq