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st pas « la mettre à exécution » — la condamner à
mort
, autant dire, et l’extirper de son être, fût-ce pour l’introduire dan
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ix. Combien d’étreintes, de blessures, combien de
morts
, de retours et de morts encore, jusqu’à ce que l’esprit enfin brisé s
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de blessures, combien de morts, de retours et de
morts
encore, jusqu’à ce que l’esprit enfin brisé s’abandonne comme on oubl
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cela nous ne sommes plus, n’appartenant plus à la
mort
, mais au combat de ce qui meurt et de ce qui renaît par cette mort. L
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bat de ce qui meurt et de ce qui renaît par cette
mort
. La neurasthénie broie les villes, où nous sommes peut-être seuls à c
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a transparence, l’épouvantable constatation de la
mort
. d. Rougemont Denis de, « Paysage de tête », Présence, Lausanne et
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L’œuvre et la
mort
d’Arnaud Dandieu (1934)e La vie d’Arnaud Dandieu s’exprime tout en
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a qualité du dynamisme qu’il suscitait, et il est
mort
l’été dernier, dans cet élan qui va s’épanouir. Ce révolutionnaire ét
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nt l’accident chirurgical qui devait entraîner sa
mort
, à 36 ans, il avait ajouté de sa main, sur les épreuves de son dernie
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é romantique, la décadence n’est pas belle, ni la
mort
. Ce qui est beau, c’est la lutte contre la mort. Ce qui est grandiose
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a mort. Ce qui est beau, c’est la lutte contre la
mort
. Ce qui est grandiose, c’est la victoire de l’homme. Le long des côte
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sée ? « Allons-y » pour voir, coûte que coûte… Sa
mort
, qui nous pousse en avant, fut pour lui, peut-être, une réponse. Non
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fut pour lui, peut-être, une réponse. Non pas une
mort
édifiante. Mais une découverte éblouie — pascalienne. « Euphorie abso
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visage. e. Rougemont Denis de, « L’œuvre et la
mort
d’Arnaud Dandieu », Présence, Lausanne et Genève, 1933–1934, p. 57-59
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z Nietzsche est le sinistre négatif du dogmatisme
mort
de ses contemporains. Il attaque à droite et à gauche, utilisant tant
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à la plus radicale dévaluation de la vie et de la
mort
que son siècle ait pu concevoir, et qu’il fut seul sans doute, dans c
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ie pardon, rémission des péchés et de la peine de
mort
qu’ils entraînent, c’est-à-dire, en un mot : Jésus-Christ15. Dogmatiq