1 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
1 ndre. » Mais qu’est-ce que l’Éthique ? — Question non éthique, et qui manifeste seulement l’égarement du temps. « L’Éthique
2 Et la pensée n’est point soustraite à cette loi, non , la pensée même de Dieu n’y est point soustraite. Car elle s’incarne
2 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
3 e , resté celui de nos bons maîtres. Il ne s’agit non plus d’un humanisme qui dresserait l’homme contre Dieu, ce qui revien
4 évélé cette unité fondamentale que créent en nous non pas des maîtres ni des noms, mais la consternante misère d’une époque
3 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
5 sance. Une œuvre « subjective » alors ? Justement non . Rompant avec la coutume du temps Dandieu n’y fait intervenir aucun l
6 aire. Ce petit livre a l’aspect d’un chantier, et non point d’un salon littéraire. Il est tout animé de la joie de construi
7 e en avant, fut pour lui, peut-être, une réponse. Non pas une mort édifiante. Mais une découverte éblouie — pascalienne. « 
4 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
8 st encore à dire de l’homme qui vit en Christ, et non plus dans la forme du siècle présent. Mais les contradictions de Nie
9 t l’antithèse à la thèse par haine de ce qui est, non par amour de ce qui doit être « cru », renvoie finalement au néant, a
10 sée ? ⁂ Je ne cherche pas à être juste. Nietzsche non plus. Qu’importe le nom qu’un observateur « impartial » voudra donner
5 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
11 st là qu’il est important de prendre position, et non ailleurs. Ne vivons-nous pas aujourd’hui, maintenant — au double sens