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chés et remords. Ainsi pensèrent tous ceux dont l’
œuvre
détermine en nous une réaction éthique, c’est-à-dire une réalisation.
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e », écrivait-il. Avec ce nom de chevalier ! Son
œuvre
déconcerte les catégories de la critique : c’est peut-être qu’elle en
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réativité dans l’exercice de la connaissance. Une
œuvre
« subjective » alors ? Justement non. Rompant avec la coutume du temp
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e, jugeait, voyait enfin… Il savait aussi que son
œuvre
se poursuivrait par d’autres mains, sur cette « terre décisive ». 1
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i définit un visage. e. Rougemont Denis de, « L’
œuvre
et la mort d’Arnaud Dandieu », Présence, Lausanne et Genève, 1933–193
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tes les erreurs du temps à 180 degrés, juste. Son
œuvre
nous apporte un dossier exhaustif des contradictions révoltantes qui
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e, trahit assez exactement une faiblesse de cette
œuvre
, qu’à prendre celle-ci dans sa totalité, l’on découvre constitutive.
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tion. (Exemples : le chapitre « Femmes » dans les
Œuvres
posthumes : tantôt il attaque ceux qui idéalisent la femme, tantôt ce
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. Il s’effondre d’ailleurs dès qu’il comprend son
œuvre
. Et c’est d’une infernale panique que ses derniers billets trahissent
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n style souverain de pensée. Qu’il ne reste d’une
œuvre
qu’un style, n’est-ce pas là le dernier caractère qui nous avertit qu
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à le dernier caractère qui nous avertit que cette
œuvre
appartient au monde « bourgeois », au monde de la pensée sans mains,
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emple, il se peut que l’injustice vis-à-vis d’une
œuvre
humaine, injustice nécessaire, inévitable, mais toute relative, elle
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à la vérité fragmentaire incarnée par une grande
œuvre
, rende raison à la vérité finale que cette œuvre a voulu nier. Descen
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œuvre, rende raison à la vérité finale que cette
œuvre
a voulu nier. Descendons jusqu’à nous. Il se peut que mon « injustice