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lâcheté. Mais l’exemple de Descartes est l’un des
plus
mauvais qui aient été donnés au monde moderne. « Depuis Descartes, il
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’en réjouir ni de le déplorer — où le choix n’est
plus
qu’entre marxisme et christianisme3, entre vérité collective et vérit
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es à tous les degrés de notre activité. Ainsi, le
plus
profond antagonisme de la pensée du xixe siècle vient s’incarner dan
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’incarner dans notre génération. Et déjà ce n’est
plus
qu’à notre situation géographique que nous devons de pouvoir trancher
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idée. Et le théâtre de sa passion. Voilà qui mène
plus
loin que l’activisme, — et avec plus de conséquence6. C’est le drame
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ilà qui mène plus loin que l’activisme, — et avec
plus
de conséquence6. C’est le drame de l’éthique individuelle, — une affa
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qui ne peut être mastiquée, puis avalée, n’a pas
plus
de valeur que ces melons en carton qu’on voit aux étalages. Il y a pl
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, Nicolas Berdiaev écrit : « Le christianisme est
plus
radical. » (Marxisme et Religion.) 7. « Et l’ange me dit : « Prends
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resté celui de nos bons maîtres. Il ne s’agit non
plus
d’un humanisme qui dresserait l’homme contre Dieu, ce qui revient, on
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ette identité et fondant sur elle ses valeurs les
plus
hautes et les plus quotidiennes à la fois. Car s’il faut une morale s
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ndant sur elle ses valeurs les plus hautes et les
plus
quotidiennes à la fois. Car s’il faut une morale simple, nous ne saur
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la Foi. Peu de malentendus pourtant. Car c’est le
plus
souvent sous le coup d’indignations pareilles et de sursauts du senti
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enace aussi pressante et planétaire. Rien ne peut
plus
nous détourner de la solidarité du péril. Et les problèmes exquis où
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ai comme les Prêtres de l’Insoluble, nous n’avons
plus
le droit d’y prêter une libérale complaisance. Laisse donc tous ces n
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ins d’ornement : la cause des intellectuels n’est
plus
celle de l’esprit11. Laisse-les donc chercher, jusqu’à la fin de leur
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ge » de notre Goethe. De tout cela nous ne sommes
plus
, n’appartenant plus à la mort, mais au combat de ce qui meurt et de c
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. De tout cela nous ne sommes plus, n’appartenant
plus
à la mort, mais au combat de ce qui meurt et de ce qui renaît par cet
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Paysage de tête : poème (1933)d N’attendons
plus
, dans cette journée violente et trop vaste, la venue des bien-aimées
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es faulx de larmes et ces battements de paupières
plus
terribles que l’orage, ces battements d’espace au-dessus des pluies q
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re de recherche et de découvertes précises, et le
plus
dépourvu qui soit d’enveloppes « littéraires » ou de fraudes rhétoriq
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que. Ouvrez-le : vous serez frappé d’y voir cités
plus
d’hommes de science que de littérateurs ; de n’y trouver pas une affi
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la mode, avec trop de dédain peut-être… On a fait
plus
de bruit autour des deux pamphlets que Dandieu publiait quelques anné
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ain apporte une critique du capitalisme. Critique
plus
constructive que celle de Marx, parce qu’elle ne se fonde pas sur une
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ectoire très singulière parcourt les domaines les
plus
variés de la recherche humaine. Jamais Dandieu n’y dispersa ses puiss
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lisme, racisme ou tyrannie ; mais son essence est
plus
profonde et n’a de nom dans aucune langue ; surtout pas en français.
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t-on écrit. On pourrait dire aussi que rien n’est
plus
visible chez un homme que son mystère, et ceci définit un visage. e.
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et l’esprit. À celui qui a perdu cette confiance,
plus
rien ne saurait apparaître digne et grand ; son âme a perdu la noble
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ncore à dire de l’homme qui vit en Christ, et non
plus
dans la forme du siècle présent. Mais les contradictions de Nietzsch
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cette « vertu » les effets du « ressentiment » le
plus
bassement égoïste. Mais ailleurs, il exalte l’égoïsme contre la soi-d
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de toute dogmatique13 : il est par là le type le
plus
parfait du clerc déraciné, du clerc sans mains, ou aux mains folles,
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ation s’entre-détruisent et n’aboutissent qu’à la
plus
radicale dévaluation de la vie et de la mort que son siècle ait pu co
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? ⁂ Je ne cherche pas à être juste. Nietzsche non
plus
. Qu’importe le nom qu’un observateur « impartial » voudra donner à ma
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: petite note sur l’injustice (novembre 1935)i
Plus
une personne est grande, plus il est téméraire de se donner pour just
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(novembre 1935)i Plus une personne est grande,
plus
il est téméraire de se donner pour juste devant elle. Imaginez une pe
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eant, que lui faire tort. Mais alors il ne s’agit
plus
, on le voit, de la même injustice. Par exemple, il se peut que l’inju
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nfession et la déclaration de ce qu’il tient pour
plus
vrai que sa vie, et à quoi tout le reste s’ordonne, y compris cette j
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e. Je m’en consolerais mieux si M. Miéville avait
plus
discrètement usé, pour me confondre, des malentendus les plus graves
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ement usé, pour me confondre, des malentendus les
plus
graves auxquels se prêtait mon langage. (Exemples : vocation, au sens
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: je croyais avoir fait sentir que je n’en étais
plus
à confondre cette discipline de l’esprit créateur avec n’importe quel
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es uns des autres, ni de nous-mêmes, mais tout au
plus
: de nos choix. Et qu’ainsi, c’est toujours « notre Nietzsche » que n
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le timon du char, le voilà qui se met à nouer le
plus
beau nœud qu’il ait jamais rêvé. Il y passe des heures indicibles d’i
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lles, dans une embrouille de génie. Les tours les
plus
retors de cette corde nouent à la grâce l’ambition, marient au luxe f
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prise au complexe d’une âme, dans les détours du
plus
profond secret noué. Et si vous simplifiez, vous gagnerez le monde, m
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faible enfant pourrait le dénouer ! — L’homme le
plus
fort ne pourrait pas le dénouer, et il faudrait alors l’épée pour le