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nçais pèse le pour et le contre ; l’Allemand pèse
sur
les choses. D’où l’on conclut encore que la pensée figure pour le Fra
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te. Car elle s’incarne dans le Fils pour agoniser
sur
la Croix, qui est le Signe de la condition humaine déchirée entre le
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toutes parts ce serait trahir. Si l’on veut agir
sur
l’époque, il faut d’abord avoir l’époque dans la peau ; c’est aujourd
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t « réalisation », ces deux thèmes de ton enquête
sur
l’Humanisme, je les nouerai dans le seul mot d’actualisation. C’est l
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le de la vie impliquant cette identité et fondant
sur
elle ses valeurs les plus hautes et les plus quotidiennes à la fois.
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es de ces fins. Tout cela nous dépasse et se meut
sur
un plan où la vanité chercherait en vain la moindre nourriture. Le co
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vons. Autour de nous tout craque et nous appelle.
Sur
les tenants d’un ordre délabré, le Souci tend son aile mortifère, — l
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fil nettement dessiné, mais une rudesse puissante
sur
le front ; des mains fines à la poignée ferme. On ne saurait trop ins
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s à la poignée ferme. On ne saurait trop insister
sur
la portée d’une observation de cet ordre. Qu’est-ce que la personne,
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elle. Le livre qu’il publiait, à Oxford, en 1927,
sur
Marcel Proust et sa Révélation psychologique, en donnerait la meilleu
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que celle de Marx, parce qu’elle ne se fonde pas
sur
une pseudo-science, sur une métaphysique idéaliste de la matière, mai
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e qu’elle ne se fonde pas sur une pseudo-science,
sur
une métaphysique idéaliste de la matière, mais sur la révolte de la p
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ur une métaphysique idéaliste de la matière, mais
sur
la révolte de la personne contre l’envahissante prolétarisation. Ces
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là pourquoi, parti de recherches d’ordre poétique
sur
la métaphore chez Proust, Blake et Keats, il devait aboutir à une éth
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ais aussi dans les études qu’il publiait en revue
sur
la phénoménologie du savant, sur la psychologie morbide et primitive,
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ubliait en revue sur la phénoménologie du savant,
sur
la psychologie morbide et primitive, sur les nomades, sur Nietzsche o
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savant, sur la psychologie morbide et primitive,
sur
les nomades, sur Nietzsche ou Diderot, sur des questions de droit, su
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sychologie morbide et primitive, sur les nomades,
sur
Nietzsche ou Diderot, sur des questions de droit, sur le régime du tr
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itive, sur les nomades, sur Nietzsche ou Diderot,
sur
des questions de droit, sur le régime du travail. Toutes ces recherch
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Nietzsche ou Diderot, sur des questions de droit,
sur
le régime du travail. Toutes ces recherches le conduisaient au grand
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er sa mort, à 36 ans, il avait ajouté de sa main,
sur
les épreuves de son dernier ouvrage, une conclusion qui nous apparaît
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e, nous devons d’abord, aujourd’hui, nous appuyer
sur
la France. Il ne s’agit pas de défendre une idée ou une cité. Il ne s
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irmation, de création, de Révolution. Nous sommes
sur
la terre décisive. L’heure est venue. Allons-y. Défi véritablement h
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que son œuvre se poursuivrait par d’autres mains,
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cette « terre décisive ». 12. Ce qu’il y a de plus profond dans l’h
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elliqueuse… Un noble effort ne peut s’appuyer que
sur
une pleine et ferme confiance en soi, qui seule élève le cœur et l’es
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lupart des autres analyses nietzschéennes portant
sur
les valeurs morales. Il attaque l’altruisme, et démasque dans cette «
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s vertébrés vivants possèdent un squelette vivant
sur
lequel s’attachent les muscles. Pas d’effort qui ne suppose l’existen
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qui ne suppose l’existence de ce squelette. 14.
Sur
l’expression de contact vital, voir les travaux importants d’Eugène M
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Autour de Nietzsche : petite note
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l’injustice (novembre 1935)i Plus une personne est grande, plus il
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vinistes !) Cela dit, l’imprudence de mon article
sur
Nietzsche demeure visible, au point qu’on la croirait préméditée. Je
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avec le monde. » Etc.) Quant au paragraphe final
sur
mes « convoitises célestes », je crains bien que certains n’y voient
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ont Denis de, « Autour de Nietzsche : petite note
sur
l’injustice », Présence, Lausanne et Genève, novembre 1935, p. 30-31.
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le avait annoncé que serait roi celui qui, debout
sur
son char, pénétrerait au grand galop dans le temple de Jupiter. Les q
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le et la mairie. Sans hésiter, il entre au temple
sur
son char, et les prêtres s’écrient en chœur : C’est lui le Roi ! Voic
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s : quiconque parviendrait à le dénouer régnerait
sur
toute l’Asie. ⁂ Car un nœud, c’est d’abord un anneau : signe d’allia
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pratiquée dans un nœud n’apprend à peu près rien
sur
sa structure, mais détruit à jamais l’espoir de le refaire, de le com