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le d’un divorce que la nature humaine désirait de
toute
sa lâcheté. Mais l’exemple de Descartes est l’un des plus mauvais qui
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ent la débilité morale du siècle ! Elle en figura
tout
ensemble le « bon goût », la mesure, et la suprême astuce. Toutefois,
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onclusions de cet essai. Penser serait : créer de
tout
son être spirituel des faits nouveaux et vrais, dans un certain style
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ossible que par les individus. Et de là vient que
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création absolue est héroïque. Socialisme (ou marxisme). Penser en a
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, d’oublis feints et de brusques retours. Il faut
tout
cela, et les mille petites souffrances de la souffrance, pour qu’une
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a pensée, et c’est là l’héroïsme de l’esprit. Car
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incarnation s’opère au prix d’un héroïsme, l’on veut dire : d’une sou
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déchéance jalousée d’ailleurs par un prolétariat
tout
abruti de travail et de cinéma. Car enfin ce n’est pas l’humanisme du
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e ou Révolution : défense de l’homme total contre
tout
ce qui tend à le mécaniser, à le disqualifier, à le châtrer de toute
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le mécaniser, à le disqualifier, à le châtrer de
toute
violence spirituelle et créatrice 8. Et comment se défendre, sinon pa
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e péril qui nous menace ; s’il ne considère avant
tout
la commune condition humaine et sa défense contre un système dont l’a
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re un système dont l’action dissolvante s’étend à
toute
la terre. Mais dès lors qu’il devient cette défense de l’homme, il re
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les buts et les moyens inséparables de ces fins.
Tout
cela nous dépasse et se meut sur un plan où la vanité chercherait en
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noms, mais la consternante misère d’une époque où
tout
ce qu’un homme peut aimer et vouloir se trouve coupé de son origine v
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la Révolution vit, si nous vivons. Autour de nous
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craque et nous appelle. Sur les tenants d’un ordre délabré, le Souci
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ortifère, — la « Frau Sorge » de notre Goethe. De
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cela nous ne sommes plus, n’appartenant plus à la mort, mais au comba
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dieu (1934)e La vie d’Arnaud Dandieu s’exprime
tout
entière dans une doctrine de l’acte créateur. Il a écrit quelques ouv
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ntier, et non point d’un salon littéraire. Il est
tout
animé de la joie de construire et d’abattre. Grande allure intellectu
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des questions de droit, sur le régime du travail.
Toutes
ces recherches le conduisaient au grand ouvrage dont le premier volum
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5)h Ce qui ne résiste pas n’existe pas ; mais
toute
résistance est une attaque. Exister en résistant, c’est exclure. Tout
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une attaque. Exister en résistant, c’est exclure.
Toute
vie, toute existence individuelle, toute possession, est exclusive ;
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. Exister en résistant, c’est exclure. Toute vie,
toute
existence individuelle, toute possession, est exclusive ; et c’est po
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exclure. Toute vie, toute existence individuelle,
toute
possession, est exclusive ; et c’est pourquoi il faut lutter contre c
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âme a perdu la noble dureté qui donne au sérieux
toute
sa force. Fr. H. Jacobi Nietzsche restera la meilleure description
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ait réagi par une diamétrale opposition. Il coupe
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les erreurs du temps à 180 degrés, juste. Son œuvre nous apporte un d
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monde, elles en expriment la tension créatrice, —
toute
création naissant d’une tension établie par quelque unité dominante e
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s même de cette intensité finit par faire éclater
tout
le jeu. Les réactions accélérées se neutralisent, ou provoquent des e
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es se neutralisent, ou provoquent des explosions.
Toute
explosion de la « forme du monde » renvoie certes l’esprit à ce qui s
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ent sociale, mais, en puissance, destructrices de
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« génie », du sien d’abord. Dans cet aheurtement violent de négations
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tuent, la relation de l’homme et de la femme perd
tout
caractère rationnel — ce qui n’est certes pas à priori un mal —, mais
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ertes pas à priori un mal —, mais elle perd aussi
toute
valeur soit actuelle, soit historique, soit même eschatologique. On d
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aard. Mais il y a cette différence capitale : que
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les négations (antithèses) de Kierkegaard se fondent dans l’acte de f
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i originel (synthèse), et qu’alors même qu’il nie
toute
possibilité de thèse provisoire (ce que n’avait pas fait l’apôtre Pau
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pte le mariage), il renvoie à cette synthèse dont
tout
chrétien attend, dès maintenant, le retour. (Je songe à la réponse du
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éguisé de l’angoisse à l’« altruisme » véritable.
Tout
bien compté, — reste la seule angoisse. Etc., etc.) Nietzsche a horre
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eule angoisse. Etc., etc.) Nietzsche a horreur de
toute
dogmatique13 : il est par là le type le plus parfait du clerc déracin
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mot donnée. Seul ce rapport posé par Dieu abolit
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distance, provoque un contact pur, permet une action vraie, et transf
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ucidité subsiste, sans appui. Tous comptes faits,
toute
vie consumée, toute position rongée et corrodée par le réactif qu’ell
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ns appui. Tous comptes faits, toute vie consumée,
toute
position rongée et corrodée par le réactif qu’elle secrète, toutes ce
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ongée et corrodée par le réactif qu’elle secrète,
toutes
ces évaluations rageusement neutralisées, il nous reste de Nietzsche
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l » voudra donner à ma justice combattante. 13.
Toute
action créatrice implique une dogmatique. De même que le squelette na
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e humaine, injustice nécessaire, inévitable, mais
toute
relative, elle aussi, témoigne en faveur d’une vérité décisive. Il se
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qu’il tient pour plus vrai que sa vie, et à quoi
tout
le reste s’ordonne, y compris cette justice dont nous pensions, non s
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ustement ce qui ordonne « le reste » — à peu près
tout
— à cet acte de foi décisif. Il est un temps pour nuancer et balancer
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(L’intelligence est une épée, disait Dandieu.) Et
tout
jugement de cette espèce comporte une injustice, c’est trop clair, ma
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ce comporte une injustice, c’est trop clair, mais
tout
refus de juger comporte une illusion, et souvent une lâcheté. (En ter
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) Quand donc cessera-t-on, chez nous, d’opposer à
toute
prise de parti bien franche le rappel revêche et stérilisant à la « c
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rupuleuse impartialité, responsable à mon sens de
tout
ce mal qu’on attribue absurdement au calvinisme ? (Comme si nous étio
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juges les uns des autres, ni de nous-mêmes, mais
tout
au plus : de nos choix. Et qu’ainsi, c’est toujours « notre Nietzsche
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endons — ou les deux à la fois — bon gré mal gré.
Tout
le reste est professorat. 15. « Cette prétention chrétienne à voulo
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quiconque parviendrait à le dénouer régnerait sur
toute
l’Asie. ⁂ Car un nœud, c’est d’abord un anneau : signe d’alliance et
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roupir parmi nous, renouant par cette fascination
tout
ce que le prêtre avait dénoué en lui, refaisant le nœud d’après natur
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criant : Renouez-le ! Renouez-le ! Car il y va de
tout
, du sens même de nos vies ! Car vous mourez, nous mourons tous d’ennu
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s nul pouvoir, l’autorité. En cette extrémité, et
tout
espoir perdu, on sollicitait son conseil. Il prit la corde qui servai