1 le déclin à l’ascension, selon les lois du Retour éternel . Pour ces religions, il n’était point de nouveauté, de véritable créa

2 sait : « la plénitude du temps, quand la décision éternelle se réalise dans l’inégale occasion ». Le saut, c’était le mouvement p

3 ien différent du terme. Quand Jérémie reçoit de l’ Éternel l’ordre de parler aux nations, il répond : « Je ne suis qu’un enfant,

4 lui est adressée en dépit de ce qu’il est. « Et l’ Éternel me dit : Ne dis pas : Je ne suis qu’un enfant. Car tu iras vers tous

5 dre établi. L’Église est obéissance au Libérateur éternel , mort pour nous mais présent dans la foi, cette « ferme assurance des

6 té, au mépris de toute vraisemblance. La « France éternelle  », « l’Allemagne immortelle » sont des expressions courantes en temps

7 à l’appel angoissé de la liberté, éviter la honte éternelle qui accable désormais toute cette génération, la Hongrie massacrée so

8 ons ont moins de cent ans et toutes se proclament éternelles . C’est peu croyable. Les maladies aussi existent bel et bien et ce n’

9 La science-fiction, poème du siècle, a remplacé l’ Éternel féminin : c’est elle, dorénavant, qui « nous entraîne vers les hauteu

10  nostalgies secrètes », erreur sur le militarisme éternel du peuple allemand et sur le pacifisme actuel de certains colonels fr

11 la France et l’Allemagne reposent leur « problème éternel  » dans les termes où vous le faites encore. Ce premier objectif est a

12 où il est par essence malheureux, ce n’est pas l’ Éternel féminin mystique du Second Faust. C’est la passion dans son intransig

13 succession des moments. C’est la vision du Retour éternel qui subitement « cloue » le Don Juan de la connaissance. C’est Nietzs

14 he lui-même, qui tend la main au Commandeur — à l’ Éternel Revenant, au Père ! — dans un suprême défi, et pour sombrer. Et ce se