1 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
1 atomisation de nos sociétés, et comment réfuter l’ éthique collectiviste si l’on se met hors d’état d’opposer à l’individu la pe
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
2 e prolongement des exigences existentielles d’une éthique protestante-libérale — quel que soit, par ailleurs, son athéisme. Le
3 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
3 x irrigués d’énergie passionnelle, tandis que « l’ éthique  », le stade intermédiaire, paraît exsangue, schématique et peu struct
4 ussi, nous l’avons vu, le fondement même de toute éthique existentielle. Mais voici que cette décision échappe à l’homme, donc
5 ci que cette décision échappe à l’homme, donc à l’ éthique temporelle et autonome : La décision n’est pas la force de l’homme,
6 ohde — ce que j’aime en Schopenhauer : le souffle éthique , la croix, la mort, l’abîme… » Mais quelques années plus tard, à Pete
4 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
7 primer de la même manière en termes d’histoire, d’ éthique , ou de psychologie. L’Histoire constate la filiation des mythes, puis
8 mble d’une société aussi complexe que la nôtre. L’ Éthique condamne en principe les deux mythes. En fait, elle exige qu’à tout l
9 ées dans l’homme par son « emploi » social ou son éthique utilitaire. N’y a-t-il donc pas de liberté ? Ou bien la seule vraie l