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atomisation de nos sociétés, et comment réfuter l’
éthique
collectiviste si l’on se met hors d’état d’opposer à l’individu la pe
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e prolongement des exigences existentielles d’une
éthique
protestante-libérale — quel que soit, par ailleurs, son athéisme. Le
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x irrigués d’énergie passionnelle, tandis que « l’
éthique
», le stade intermédiaire, paraît exsangue, schématique et peu struct
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ussi, nous l’avons vu, le fondement même de toute
éthique
existentielle. Mais voici que cette décision échappe à l’homme, donc
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ci que cette décision échappe à l’homme, donc à l’
éthique
temporelle et autonome : La décision n’est pas la force de l’homme,
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ohde — ce que j’aime en Schopenhauer : le souffle
éthique
, la croix, la mort, l’abîme… » Mais quelques années plus tard, à Pete
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primer de la même manière en termes d’histoire, d’
éthique
, ou de psychologie. L’Histoire constate la filiation des mythes, puis
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mble d’une société aussi complexe que la nôtre. L’
Éthique
condamne en principe les deux mythes. En fait, elle exige qu’à tout l
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ées dans l’homme par son « emploi » social ou son
éthique
utilitaire. N’y a-t-il donc pas de liberté ? Ou bien la seule vraie l