1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 l avait conçus pendant son séjour à l’Académie de Berlin  ; mais il se résout à passer simplement son examen de théologie, par
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
2 bourgs s’est propagé dans les avenues lugubres de Berlin , entre leurs façades sur le vide, les blocs blanchis aux petites fenê
3 le canal de la Volga au Don. Mais les journées de Berlin l’ont démasqué comme le parti de la répression sanglante et de la dép
4 s ne sommes pas des esclaves ! », les ouvriers de Berlin ont rétabli d’un coup la vérité profonde de toute la situation, une v
5 effacé. Rien ne peut plus faire que les héros de Berlin soient morts en vain. Aux jours les plus découragés de l’Occident, il
6 aut de l’Europe nouvelle, on vient de le sentir à Berlin , surgissant d’un peuple écrasé. Et ce n’est pas l’Europe des marchand
3 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
7 grandes étapes qui nous ont conduits jusqu’ici. À Berlin , au début de la guerre de Corée, nous avons été dire un seul mot : Li
8 ix des tyrans. À la suite du meeting mémorable de Berlin , nous nous sommes organisés. Nous avons créé des secrétariats en Alle
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
9 u seul contraste entre deux conférences, celle de Berlin et celle de Genève. Berlin fut un échec sur les principaux points à s
10 conférences, celle de Berlin et celle de Genève. Berlin fut un échec sur les principaux points à son ordre du jour — l’unific
11 r une surenchère insensée. La vérité — c’est qu’à Berlin l’idée de l’Europe unie, affirmée d’une seule voix par les représenta
12 éresse beaucoup. » Que s’est-il donc passé depuis Berlin  ? — Rien, pas un « fait » visible pour la presse, pas une crise et pa
13 la manœuvre est claire. Dès les derniers jours, à Berlin , Molotov a bien vu que l’Europe s’unirait d’autant mieux qu’il s’atta
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
14 er si elle va trop loin. Leur silence à propos de Berlin , de Poznań, leur permettrait ainsi de parler de Budapest ? Tandis que
15 s donc pour ? (Mais ceux-là ne me disent pas : et Berlin  ? Et Poznań ? Et le peuple, après tout, de la Sainte Russie colonisée
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
16 ar Budapest — comme elle s’était « exprimée » par Berlin et Poznań — ils ne sont pas dans le sens de l’Histoire ; ce qui leur
7 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
17 « l’hémisphère principal » serait plus voisin de Berlin , voire, en trichant un peu, de Londres ou de Paris. Il est clair, en
18 sud‑est de Nantes, on ne voit rien, et autour de Berlin , des Russes. On cherche donc, plus près du cœur du continent, une rég
8 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
19 es par jour : « Depuis le temps de mon semestre à Berlin , en 1895, pendant plus d’un demi-siècle, j’ai marché trois heures par
9 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
20 u’un léger gain pour l’Occident dans l’affaire de Berlin , désamorcée.) Aux yeux des peuples du monde entier, les images concrè
10 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
21 été. Peu de mois après leur première conférence à Berlin , il y a dix ans, ils décidèrent de se grouper afin de créer ainsi, en
22 est inutile d’insister sur ce fait, ici, dans ce Berlin où elle nous cerne de toutes parts. Mais nous refusons d’accorder à l
11 1961, Preuves, articles (1951–1968). Pour Berlin (septembre 1961)
23 Pour Berlin (septembre 1961)bf Le monde entier se demande pourquoi M. Khroucht
24 met en jeu les droits de l’homme. Le problème de Berlin se ramène à ceci qu’un régime qui se dit populaire veut empêcher son
25 re veut empêcher son peuple de le fuir. À travers Berlin , chaque jour et depuis une dizaine d’années, des centaines d’Allemand
26 traité de paix qu’il exige permettrait d’étouffer Berlin . Il est juste d’ajouter que Berlin recevrait le titre de « ville libr
27 ait d’étouffer Berlin. Il est juste d’ajouter que Berlin recevrait le titre de « ville libre » en échange de sa liberté. « Pou
28 t, et comme ils veulent, qu’il y a un problème de Berlin et que la paix est ébranlée. Nous demandons à M. Khrouchtchev d’appli
29 iales. Qu’il prouve donc qu’il y croit, et laisse Berlin tranquille ! Ces deux millions et demi d’hommes et de femmes sans arm
30 ant l’Histoire. bf. Rougemont Denis de, « Pour Berlin  », Preuves, Paris, septembre 1961, p. 56.
12 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
31 Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)bg On ne sait pas toujours qui sont ce
32 M. Paul Dehem, qui écrit longuement sur le mur de Berlin . D’où vient ce très curieux esprit ? À l’en croire, le mur de Berlin
33 ce très curieux esprit ? À l’en croire, le mur de Berlin est l’œuvre des Allemands de l’Ouest, qui l’ont bâti pour abriter leu
34 t ? « On avait besoin de ne pas connaître l’autre Berlin , de ne pas confronter aux réalités l’image commode qu’on s’en faisait
35 on Salomon déclare : « Ils ont construit un mur à Berlin , ce mur n’est rien. Seul compte celui qui se trouve dans le cœur des
36 pas peur. bg. Rougemont Denis de, « Le mur de Berlin vu par Esprit  », Preuves, Paris, février 1963, p. 92-93.