1
s dans les discours des députés adversaires de la
CED
. Elle atteint son degré de virulence extrême dans les centaines de le
2
du sort de toute l’Europe en ratifiant ou non la
CED
. Il fallait donc fixer la France d’abord, puis ses alliés sur l’imbro
3
son union ; bien plus, elle va laisser pourrir la
CED
, seule capable — à tort ou à raison — d’inspirer quelque crainte à l’
4
donc plus adhérer à l’alliance agressive baptisée
CED
. Elle y serait noyée et sans force. » Ce sophisme insultant va servir
5
temps utile si le parlement français repousse la
CED
, et avec elle ses suites et ses implications, la Communauté politique
6
disent les journaux, de tout faire pour sauver la
CED
. Il savait ce qui était en jeu : non seulement le sentiment ombrageux
7
s demander ce qui a été ainsi (par le rejet de la
CED
) gagné ou perdu, et comment nous situer maintenant. Examiner si nous
8
s eu tort ou raison de contribuer à l’échec de la
CED
. Nous ne le ferons pas ; quoi qu’il arrive maintenant […] un premier
9
ante « action » qui a « contribué à l’échec de la
CED
» et qui marque son point « pour l’histoire ? » Ce n’est qu’Esprit, r
10
rnationale ». Esprit ayant écarté le danger de la
CED
se félicite de constater que « le ciel du Pentagone » ne lui est pas
11
rait des crédits américains, leur fameux dilemme “
CED
ou Wehrmacht”, leur chantage au contrecoup nationaliste allemand. » T
12
des off shore au lendemain du vote du refus de la
CED
… » (Esprit, p. 665.) Les gens du MRP, etc., avaient donc raison. Sur
13
etc., avaient donc raison. Sur le fameux dilemme
CED
ou Wehrmacht : « Les accords de Londres donnent encore moins de garan
14
Londres donnent encore moins de garanties que la
CED
… Le même état-major allemand pourra se constituer… L’Allemagne aura l
15
lle… » (p. 667). Ceci demande une correction : la
CED
excluait un état-major allemand. Les accords de Londres l’autorisent.
16
» ne sont pas « au moins égales ». Le rejet de la
CED
a bel et bien entraîné la recréation d’une Wehrmacht, comme le disaie
17
). Ou encore : « Ce geste libérateur (refus de la
CED
) a renforcé immédiatement les socialistes allemands » (p. 665). On sa
18
it ayant contribué par son action au rejet de la
CED
; ce rejet ayant entraîné les accords de Londres ; ceux-ci rétablissa
19
abotant Strasbourg, vous les Français en tuant la
CED
. Vous l’appelez quand elle peut vous servir, et la mettez en doute qu
20
, aussitôt accusée de dirigisme. Puis on a tué la
CED
, et toute la presse a récité que l’idée européenne était bien morte.
21
qui est engagé. — Oui, mais la France a rejeté la
CED
, et depuis lors les résistances sont alertées. Comment les vaincre ?
22
pas les mêmes buts. La majorité des non contre la
CED
était-elle donc plus homogène et plus valable ? Elle comptait ceux qu