1 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
1 s dans les discours des députés adversaires de la CED . Elle atteint son degré de virulence extrême dans les centaines de le
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
2 du sort de toute l’Europe en ratifiant ou non la CED . Il fallait donc fixer la France d’abord, puis ses alliés sur l’imbro
3 son union ; bien plus, elle va laisser pourrir la CED , seule capable — à tort ou à raison — d’inspirer quelque crainte à l’
4 donc plus adhérer à l’alliance agressive baptisée CED . Elle y serait noyée et sans force. » Ce sophisme insultant va servir
5 temps utile si le parlement français repousse la CED , et avec elle ses suites et ses implications, la Communauté politique
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
6 disent les journaux, de tout faire pour sauver la CED . Il savait ce qui était en jeu : non seulement le sentiment ombrageux
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). De gauche à droite (mars 1955)
7 s demander ce qui a été ainsi (par le rejet de la CED ) gagné ou perdu, et comment nous situer maintenant. Examiner si nous
8 s eu tort ou raison de contribuer à l’échec de la CED . Nous ne le ferons pas ; quoi qu’il arrive maintenant […] un premier
9 ante « action » qui a « contribué à l’échec de la CED  » et qui marque son point « pour l’histoire ? » Ce n’est qu’Esprit, r
10 rnationale ». Esprit ayant écarté le danger de la CED se félicite de constater que « le ciel du Pentagone » ne lui est pas
11 rait des crédits américains, leur fameux dilemme “ CED ou Wehrmacht”, leur chantage au contrecoup nationaliste allemand. » T
12 des off shore au lendemain du vote du refus de la CED … » (Esprit, p. 665.) Les gens du MRP, etc., avaient donc raison. Sur
13 etc., avaient donc raison. Sur le fameux dilemme CED ou Wehrmacht : « Les accords de Londres donnent encore moins de garan
14 Londres donnent encore moins de garanties que la CED … Le même état-major allemand pourra se constituer… L’Allemagne aura l
15 lle… » (p. 667). Ceci demande une correction : la CED excluait un état-major allemand. Les accords de Londres l’autorisent.
16 » ne sont pas « au moins égales ». Le rejet de la CED a bel et bien entraîné la recréation d’une Wehrmacht, comme le disaie
17 ). Ou encore : « Ce geste libérateur (refus de la CED ) a renforcé immédiatement les socialistes allemands » (p. 665). On sa
18 it ayant contribué par son action au rejet de la CED  ; ce rejet ayant entraîné les accords de Londres ; ceux-ci rétablissa
5 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
19 abotant Strasbourg, vous les Français en tuant la CED . Vous l’appelez quand elle peut vous servir, et la mettez en doute qu
20 , aussitôt accusée de dirigisme. Puis on a tué la CED , et toute la presse a récité que l’idée européenne était bien morte.
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
21 qui est engagé. — Oui, mais la France a rejeté la CED , et depuis lors les résistances sont alertées. Comment les vaincre ?
7 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
22 pas les mêmes buts. La majorité des non contre la CED était-elle donc plus homogène et plus valable ? Elle comptait ceux qu