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sicale vint-elle à Denis de Rougemont ? Il habite
Ferney
; le génie du lieu n’y est donc pour rien. (Ce n’est pas pour des rai
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z et ses environs historiques (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, octobre 1956, p. 80-82.
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is de, « Sur l’Europe à faire (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, novembre 1956, p. 53-55.
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e, « Sur le rêve des sciences (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, décembre 1956, p. 75-77.
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pe (janvier 1957)ad Mardi 30 octobre 1956, à
Ferney
Nouvelles de Budapest : on nous répète sans fin que la révolte est
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ce qui le préparait. Jeudi 8 novembre 1956, à
Ferney
Rentré hier de Paris à Genève, à temps pour me joindre au cortège
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honte et l’espoir de l’Europe (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, janvier 1957, p. 55-57.
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dit la téléphoniste. C’est trop long. Donnez-moi
Ferney
comme Branca et Voltaire comme un fauteuil. — J’y suis. Dans quel dép
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reux ennui, méditant sur la gloire et les jeux de
Ferney
. Le souvenir de Voltaire anime toute la région ; il ne vit pas seulem
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r un prospectus vantant la qualité des montres de
Ferney
, ou des bas de soie que l’on filait dans sa fabrique. La première pai
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informé par un ami commun de ce que j’habitais à
Ferney
: « Est-ce que Voltaire ne vient pas lui chatouiller la plante des pi
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mont Denis de, « Sur Voltaire (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, février 1957, p. 68-70.
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Sur la neutralité européenne (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, mars 1957, p. 49-51.
14
la neutralité européenne (II) (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, avril 1957, p. 68-70.
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a neutralité européenne (fin) (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, mai 1957, p. 56-57.
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que. Au fait, ne serait-ce pas là l’explication ?
Ferney
rappelle un écrivain connu qui signait volontiers : « le Suisse Volta
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Sur deux écrivains politiques (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, juin 1957, p. 57-59.
18
le pouvoir des intellectuels (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, juillet 1957, p. 46-48.
19
Sur le crépuscule d’un régime (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, octobre 1957, p. 63-65.
20
de, « Sur un certain cynisme (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, octobre 1957, p. 72-73.
21
is de, « Sur l’Europe à faire (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, novembre 1957, p. 52-54.
22
pluralité des satellites (II) (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, décembre 1957, p. 52-54.
23
on des nouvelles et des faits (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, février 1958, p. 56-58.
24
ur un patriotisme de la terre (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, mars 1958, p. 44-46.
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endue décadence de l’Occident (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, avril 1958, p. 45-47.
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avance alors un candidat : le pays de Gex, où est
Ferney
. Morceau de France détaché vers la Suisse au‑delà de la barrière du J
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haut lieu de la science. Au sud, les châteaux de
Ferney
et de Coppet gardent les traces radioactives des plus brillantes cons
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Sur le régime fédéraliste (I) (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, août 1958, p. 59-61.
30
ur le régime fédéraliste (II) (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, septembre 1958, p. 48-50.
31
ulaire politique des Français (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, novembre 1958, p. 64-66.
32
Sur une phrase du Bloc-Notes (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, mars 1959, p. 53-55.
33
é-croisé d’idéaux et de faits (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, novembre 1959, p. 53-55.
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détente et les intellectuels (Le point de vue de
Ferney
) », Preuves, Paris, mars 1960, p. 66-68.
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ger, le 25 février, vinrent me voir à Genève et à
Ferney
pour me demander de m’engager à fond dans le mouvement (je leur promi
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ures mon avion décollait, à midi je m’endormais à
Ferney
. Mon rapport culturel, à l’encre encore humide, fut remis aux délégué