1 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
1 omina la conscience prolétarienne (de France et d’ Italie surtout) et l’inconscient de millions de bourgeois. Fin d’un mythe, m
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
2 créé des secrétariats en Allemagne, en France, en Italie , en Grande-Bretagne, dans les deux Amériques, aux Indes et au Japon.
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
3 rigerait les débats, et enfin que le gouvernement italien , qui avait accepté de patronner la réunion, mettrait à la disposition
4 rope : M. de Gasperi, ancien président du Conseil italien  ; M. van Kleffens, ancien ministre des Affaires étrangères des Pays-B
5 (Islande), Miss Chinneide (Irlande), MM. Piovene ( Italie ), Hess (Luxembourg), Schlichting (Pays-Bas), Oftedal (Norvège), Becke
6 et en présence de M. Pella, président du Conseil italien , ainsi que du corps diplomatique, qu’a eu lieu l’ouverture publique d
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
7 re, et à la tête duquel il avait gouverné toute l’ Italie pendant huit ans — le temps de mériter ce titre qui figure sur sa pie
8 on espace vital de civilisation. Ayant redressé l’ Italie , il voulait la conduire à l’Europe, à la fois fille de Rome et mère d
9  saboteurs de l’Europe ». Cet homme, symbole de l’ Italie nouvelle renaissant des ruines du fascisme, était né aux confins disp
10 ule issue aux conflits douloureux qui déchirent l’ Italie croyante et libérale, et qui ne peuvent être résolus qu’au-delà du tê
11 amais il n’a voulu parler de la « grandeur » de l’ Italie , mais il s’est contenté de restaurer sa patrie dans sa dignité — pour
12 s mais aussi toute la politique de la majorité en Italie , tous les efforts de Bonn pour empêcher la renaissance du nationalism
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
13 ats comme les Suisses sont français, allemands ou italiens par leur langue, leur culture et leurs affinités, la guerre des autre
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
14 les USA venant « mettre au pas » une France, une Italie passant au communisme ? Le jeu n’est pas égal et les dés sont pipés.
15 nons les intellectuels antiaméricains de Paris, d’ Italie et parfois d’Angleterre : une Europe neutre entre le Coca-Cola et les
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Pourquoi je suis Européen (octobre 1957)
16 çais parleront aujourd’hui ; des Espagnols et des Italiens , des Allemands et des Scandinaves, des Anglais et des Suisses suivron
8 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
17 omène est à peu près unique. Ni l’Allemagne, ni l’ Italie , ni la Hollande, ni la Suisse, ni l’Espagne, ni même la Grande‑Bretag
18 verait la pluie et le beau temps, il rencontra en Italie une courtisane qui pleurait et, en ce lieu, bâtit la ville de Crotone
19 de la Faucille et la Route Blanche qui va vers l’ Italie . Le tunnel du Mont-Blanc, sous le sommet de l’Europe, sera percé d’ic
9 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
20 éclare : « C’est notre rôle à tous, intellectuels italiens , d’exercer notre influence dans la vie publique afin que la guerre fr
10 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
21 re l’afflux des travailleurs étrangers en Suisse ( Italiens , Allemands, Espagnols, Grecs et Turcs). Ce n’est pas le Marché commun
11 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
22 rdant le lac. — C’est aussi le Tyrol, ou les lacs italiens . — C’est un lac, quoi, tout se ressemble. C’est très bien. » Il va do
23 aux américains, français, hollandais, norvégiens, italiens , argentins. bl. Rougemont Denis de, « Marcel Duchamp mine de rien »
12 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
24 présentants des groupes fédéralistes de France, d’ Italie , de Belgique, de Hollande, de Danemark et de Grande-Bretagne, mais au
25 sieurs de leurs chefs se retrouvaient à Montreux, Italiens et Allemands, Français, Bénéluxiens. Enfin, derrière la pensée de la
26 Gegner avec Harro Schulze-Boysen), mais non pas l’ Italie , où le fédéralisme apparut d’une manière autonome dans les camps des
27 députés socialistes anglais, un joyeux anarchiste italien , des ministres allemands aux lunettes sans bord… Mais pourquoi cet im
28 vons des délégations allemandes, autrichiennes et italiennes .) Ou bien le mariage de l’Ouest et de l’Est ? Non, pas cela : les que
29 nement démo-chrétiens de France, d’Allemagne et d’ Italie , la naissance d’une Haute Autorité du charbon et de l’acier inaugurer
30 une grande différence entre les Allemands et les Italiens . Eux, quand ils parlent de leur ancien chef, disent : “Le pauvre, il
13 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
31 u Rhin, français sur les deux versants du Jura et italien (ou allemand de nouveau) sur les deux versants des Alpes. Décréter qu