1 1954, Preuves, articles (1951–1968). Politique de la peur proclamée (novembre 1954)
1 u’il juge « intéressant d’examiner la position de Khrouchtchev  ». Et de se demander : « Khrouchtchev est-il un autre Staline ? » Et
2 position de Khrouchtchev ». Et de se demander : «  Khrouchtchev est-il un autre Staline ? » Et de répondre : « Très évidemment non. C
2 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
3 la mort du despote à la publication du rapport de Khrouchtchev en Occident, une courbe régulière se dessine, reliant toute une série
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
4 de m’en mêler. A. Vous me jetez dans les bras de Khrouchtchev  ! Je ne veux pas de conditions politiques. B. Je n’en ai pas parlé. J
4 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
5 sur la Lune d’une mission soviétique présidée par Khrouchtchev compensera de la même manière l’élimination terrestre du régime, auqu
5 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
6 pris soin de se nommer le « vrai peuple ». Ainsi Khrouchtchev peut déclarer sans rire que le référendum français n’est pas plus pop
6 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
7 un jour, en dépit de vos craintes et de celles de Khrouchtchev , comment la rendre inoffensive ou bénéfique ? En faisant l’Europe, c’
7 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
8 iers maritimes de Saardam. Aujourd’hui, l’ouvrier Khrouchtchev a décidé que la Russie devait « faire mieux que l’Amérique », mais co
9 er dans son sens. Voilà qui est clair et naturel. Khrouchtchev , au contraire, professe que l’Occident est promis à la décadence. Que
10 l’ennui futur et fera s’endormir l’Histoire ? Ni Khrouchtchev ni Lippmann n’ont parlé de liberté, de sagesse, de sens de la vie. Co
11 raisons de nous haïr et de nous craindre ? Quand Khrouchtchev réitère que ses positions idéologiques sont irréductibles, on dirait
12 ührer, au Duce, à Staline, il devient évident que Khrouchtchev est une créature intermédiaire entre le dictateur et l’homme. Plus pr
13 Les grandes masses se dessinent. — Le voyage de Khrouchtchev a certainement donné des résultats beaucoup plus importants que la co
14 ées, numérotées et comparées dans les discours de Khrouchtchev , sont apparues comme les seules réalités politiques importantes. Cet
8 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
15 doit s’ensuivre. Il faut avouer que le voyage de Khrouchtchev en Amérique a provoqué des mouvements fort étranges chez les intellec
9 1961, Preuves, articles (1951–1968). Pour Berlin (septembre 1961)
16 re 1961)bf Le monde entier se demande pourquoi M. Khrouchtchev estime urgent de signer un traité de paix avec le régime de Pankow, q
17 te que par eux. Les motifs politiques qui animent M. Khrouchtchev doivent être à ses yeux bien puissants pour justifier le risque qu’il
18 aient avec les pieds, selon la formule de Lénine. M. Khrouchtchev entend maintenant leur interdire cette dernière forme d’expression. L
19 eux millions de Berlinois ? » s’écriait récemment M. Khrouchtchev . Nous lui demandons en retour, avec tous ceux qui veulent la paix : «
20 en. » Dans ses notes aux puissances occidentales, M. Khrouchtchev déclare que « le régime socioéconomique de tout État ne regarde que s
21 lin et que la paix est ébranlée. Nous demandons à M. Khrouchtchev d’appliquer les principes qu’il proclame, même quand le droit d’un pe
22 e lui-même le conduit à opter pour la démocratie. M. Khrouchtchev ne cesse de répéter que la marche fatale de l’Histoire mènera sans gu
23 ent pas la paix du peuple russe. Nous demandons à M. Khrouchtchev de ne pas pousser à bout les Allemands de l’Est en fermant la dernièr
24 ’est pas « consolider la paix ». Nous demandons à M. Khrouchtchev de ne pas déclencher le massacre universel pour sauver un régime décr