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ue toujours lointains ? En février 1946, vivant à
New York
et séparé de l’Europe depuis de longues années, je notais : « Transmi
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de ses peuples colonisés sans demander d’abord à
New York
une permission refusée d’avance, et sans consulter autre chose que sa
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ut survolé trente fois par jour par des avions de
New York
, de l’Inde ou de l’Afrique. Ils vont se poser derrière le bois tout p
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u’il attaque, d’ailleurs écrit pour un éditeur de
New York
, ne parlait que de l’Occident en général. Quant au premier, je crains
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: il y avait là de quoi make news, comme on dit à
New York
. Mais l’écho reste faible dans la presse. Car les agences ont décidé,
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, The Geography of World Air Transport, publiée à
New York
en 1944. Cependant, le professeur E. G. R. Taylor, dans sa brochure G
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un succès de vente. En même temps paraissaient à
New York
deux romans écrits par des étrangers, Russes au surplus ; l’un décriv
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ête-à-tête dans un petit restaurant du Village, à
New York
. (20 juin 1942, selon le journal que je tenais alors.) Deux jours plu
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’avait reconstitué André Breton dès son arrivée à
New York
. Il avait pour noyau quelques peintres qui allaient changer là-bas le
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exclusion. Ainsi en mars 1945, lorsque parurent à
New York
mes Personnes du Drame . Breton me dit que sa femme en ayant lu quel