1 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
1 ue toujours lointains ? En février 1946, vivant à New York et séparé de l’Europe depuis de longues années, je notais : « Transmi
2 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
2 de ses peuples colonisés sans demander d’abord à New York une permission refusée d’avance, et sans consulter autre chose que sa
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
3 ut survolé trente fois par jour par des avions de New York , de l’Inde ou de l’Afrique. Ils vont se poser derrière le bois tout p
4 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
4 u’il attaque, d’ailleurs écrit pour un éditeur de New York , ne parlait que de l’Occident en général. Quant au premier, je crains
5 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
5 : il y avait là de quoi make news, comme on dit à New York . Mais l’écho reste faible dans la presse. Car les agences ont décidé,
6 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
6 , The Geography of World Air Transport, publiée à New York en 1944. Cependant, le professeur E. G. R. Taylor, dans sa brochure G
7 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
7 un succès de vente. En même temps paraissaient à New York deux romans écrits par des étrangers, Russes au surplus ; l’un décriv
8 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
8 ête-à-tête dans un petit restaurant du Village, à New York . (20 juin 1942, selon le journal que je tenais alors.) Deux jours plu
9 ’avait reconstitué André Breton dès son arrivée à New York . Il avait pour noyau quelques peintres qui allaient changer là-bas le
10 exclusion. Ainsi en mars 1945, lorsque parurent à New York mes Personnes du Drame . Breton me dit que sa femme en ayant lu quel