1
récise : « Ce texte est extrait d’une brochure de
Denis de Rougemont
, intitulée Les Libertés que nous pouvons perdre , que nous publieron
2
s de, « Neutralité et neutralisme. Le discours de
Denis de Rougemont
au congrès de Bombay », Preuves, Paris, mai 1951, p. 20-21. d. Le te
3
, du 28 au 31 mars. Au cours de cette conférence,
Denis de Rougemont
, qui représentait le Congrès international pour la liberté de la cult
5
presque intégralement l’allocution inaugurale de
Denis de Rougemont
, président du comité exécutif du Congrès pour la liberté de la cultur
6
13 octobre et siégerait pendant quatre jours, que
M. Denis de Rougemont
, directeur du Centre européen de la culture à Genève, dirigerait les
7
internationale à l’Université de Londres ; et M.
de Rougemont
, directeur des débats. Publicistes : MM. Hommel (Belgique), Ross (Dan
8
ccord avec les vues du musicien non professionnel
Denis de Rougemont
. Quelques paragraphes — et voici l’inédit, le complexe et le paradoxa
9
is d’où tant de perspicacité musicale vint-elle à
Denis de Rougemont
? Il habite Ferney ; le génie du lieu n’y est donc pour rien. (Ce n’e
10
oltaire ne prisait pas Rousseau.) Mais il y a que
Denis de Rougemont
, dans ses ouvrages, veux-je dire, a eu un vif commerce avec le diable
11
olte, de soufre et d’œillet vert. Cette chose que
Denis de Rougemont
a la diablerie de nommer “simplement le goût”. »
12
dans une inquiétante découverte. « Je connais M.
de Rougemont
, écrit Sartre, c’est un homme doux, bien élevé, et par-dessus le marc
13
. Si je m’en tiens à cette interprétation du zen,
Denis de Rougemont
a raison ; il y a du zen, en fait, dans tous mes écrits, à commencer
14
au fédéralisme. » Une note précise également : «
Denis de Rougemont
a reçu le 15 avril 1970 le prix Robert Schuman. Preuves reproduit d