1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 its de notre siècle, un Paul Valéry, un Eliot, un Toynbee , un Bergson l’ont fait ; et la majorité de nos élites les a suivis. C
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
2 de historique intelligible » tel que l’a délimité Toynbee  : une société, une civilisation bien définie, comme l’Europe, l’islam
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
3 e d’un des plus grands historiens de notre temps, M. Toynbee , appuyé par l’autorité d’un savant humaniste, M. Löfstedt. Nous avons
4 dans l’union. Ce fut le dernier mot du rapport de Toynbee  : « Unissons l’Europe maintenant ! Nous n’avons pas de temps à perdre
5 nde extraeuropéen et dans nos rapports mutuels » ( Toynbee ), c’est-à-dire de regagner en prestige moral ce que nous perdons en p
6 division ; aujourd’hui ce n’est plus possible » ( Toynbee ).   Recouvrer la souveraineté. — Est-il vrai que nos souverainetés d
7 ultiples, condition fondamentale de la liberté : M. Toynbee . — En ce qui concerne le loyalisme, les Romains ont découvert qu’il n
8 van Kleffens approuve les remarques du professeur Toynbee sur les loyalismes multiples — « allégeances » serait peut-être un te
4 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
9 un système sans avenir. Car ainsi que l’a bien vu Toynbee , les utopies sont en réalité « des programmes d’action déguisés en de
5 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
10 s prochaines. Sorel, Bergson, Spengler, Valéry et Toynbee et plusieurs centaines d’autres à leur suite nous l’ont répété sans r