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C’est l’invention de ceux qui ont décidé qu’après
Wagner
, il n’y avait plus que des bruits désagréables. L’expression ne désig
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ndiose, dans les versions du xiie siècle et dans
Wagner
, la Mort des Amants légendaires. C’est qu’en réalité, H. H. et Lolita
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sive dans Gottfried de Strasbourg, dont s’inspira
Wagner
. 75. « Je ne suis nullement intéressé par ce qu’on appelle “sex” (en
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d’elles-mêmes. »94 L’un par Mozart et l’autre par
Wagner
accède au cœur du mythe qu’il n’a pu que rêver, que sa personne refus
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rage de jeunesse marque l’apogée de l’amitié avec
Wagner
et de l’admiration pour Schopenhauer, leur maître commun. « J’aime en
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our Schopenhauer, leur maître commun. « J’aime en
Wagner
— écrit-il en 1866 à Erwin Rohde — ce que j’aime en Schopenhauer : le
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—, Tristan s’est évanoui et Don Juan domine tout.
Wagner
n’est plus « mon noble compagnon d’armes » mais « l’asphyxie par le r
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iosité décadente et aux « Sursum ! Bouboum ! » de
Wagner
? Elle enseigne l’amour « remis à sa place dans la nature ! Non pas l
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« Ariane, je t’aime ! signé : Dionysos. » Le Cas
Wagner
— qui est un dernier Anti-Tristan — venait d’être envoyé à l’impressi
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rtie de Zarathoustra va témoigner. 119. « Le cas
Wagner
», dans Le Crépuscule des idoles (1888). 120. Par-delà le bien et l
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choc reçu par Nietzsche à l’annonce de la mort de
Wagner
: le motif de Tristan reparaît peu après dans le second Zarathoustra