1 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
1 C’est l’invention de ceux qui ont décidé qu’après Wagner , il n’y avait plus que des bruits désagréables. L’expression ne désig
2 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
2 ndiose, dans les versions du xiie siècle et dans Wagner , la Mort des Amants légendaires. C’est qu’en réalité, H. H. et Lolita
3 sive dans Gottfried de Strasbourg, dont s’inspira Wagner . 75. « Je ne suis nullement intéressé par ce qu’on appelle “sex” (en
3 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
4 d’elles-mêmes. »94 L’un par Mozart et l’autre par Wagner accède au cœur du mythe qu’il n’a pu que rêver, que sa personne refus
5 rage de jeunesse marque l’apogée de l’amitié avec Wagner et de l’admiration pour Schopenhauer, leur maître commun. « J’aime en
6 our Schopenhauer, leur maître commun. « J’aime en Wagner — écrit-il en 1866 à Erwin Rohde — ce que j’aime en Schopenhauer : le
7 —, Tristan s’est évanoui et Don Juan domine tout. Wagner n’est plus « mon noble compagnon d’armes » mais « l’asphyxie par le r
8 iosité décadente et aux « Sursum ! Bouboum ! » de Wagner  ? Elle enseigne l’amour « remis à sa place dans la nature ! Non pas l
9 « Ariane, je t’aime ! signé : Dionysos. » Le Cas Wagner — qui est un dernier Anti-Tristan — venait d’être envoyé à l’impressi
10 rtie de Zarathoustra va témoigner. 119. « Le cas Wagner  », dans Le Crépuscule des idoles (1888). 120. Par-delà le bien et l
4 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
11 choc reçu par Nietzsche à l’annonce de la mort de Wagner  : le motif de Tristan reparaît peu après dans le second Zarathoustra