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des commentateurs. — On sait que le grand public
adulte
bénéficie de l’enseignement de quelques maîtres de lecture : les comm
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e : « Il y a cent-cinquante ans que la France est
adulte
, qu’a-t-elle besoin d’un père ? » on se demande sérieusement ce qu’il
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1958 ? Sûrement non. Penserait-il qu’une nation «
adulte
» n’a plus besoin d’être gouvernée ? On peut l’imaginer, mais non pas
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passe, n’apparaît guère dans son ensemble plus «
adulte
» que la Nouvelle Vague. La phrase citée n’a aucun sens, mais elle n’
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ent avec l’image du Père. Voilà l’ennemi. Je suis
adulte
, ou quoi ? À chacun ses complexes et ses débats intimes. Je n’entends
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er d’un sens civique qu’on est en droit de dire «
adulte
» cette fois-ci, et d’un socialisme concret, plus poussé que partout
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rut bientôt — rappel de Poe. Ainsi, l’Éros de cet
adulte
, par ailleurs sexuellement normal, s’est trouvé fixé sur la femme-enf
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on OK. Probablement, je n’ai jamais atteint l’âge
adulte
… À propos d’âge : — La grande crise se produit vers quarante ans, che