1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
1 u’un « instrument de la guerre froide ». Devant l’ ambiguïté d’une pareille situation, l’Américain se met sur ses gardes et commet
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
2 r caractère d’une vocation réelle consiste en son ambiguïté . Celle-ci paraît immédiatement dans notre usage courant du terme de v
3 ature et l’appel de l’esprit. Chez Kierkegaard, l’ ambiguïté subsiste. Nous avons vu que sa mélancolie profonde le sépare des autr
4 devenir un témoin de la vérité. Cependant, cette ambiguïté dans notre idée courante de la vocation n’est pas celle qui retient K
3 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
5 le au sous-développement et à la colonisation. Ambiguïté de l’intégration Laissons Littré, qui sur ce mot n’a rien d’actuel
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
6 le Régime — ces trois romans trahissent une même ambiguïté quant à la vraie nature, sinon de leur sujet, du moins de l’intérêt p
7 pas, bien que sincère. Car il faut voir que cette ambiguïté , qu’il nous propose malgré lui, n’est pas du tout accidentelle. Elle
8 ation. Elle exprime et traduit irrésistiblement l’ ambiguïté fondamentale de la passion, antisociale par définition, donc liée au
9 ite fille ». Mais voici l’aveu décisif ; et cette ambiguïté qui m’arrêtait (parlent-ils donc, ces romanciers, d’une société, d’un
5 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
10 ous croyez ? », me dit-il en substance (ravi de l’ ambiguïté du mot croire dans cette phrase). « Qu’est-ce que cela peut faire à B