1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 d’égale que ma faculté de la dissimuler sous des apparences de gaieté. » Ou encore : « J’étais armé d’une foi presque téméraire e
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
2 ontre d’une volonté aussi délibérée de fuir toute apparence d’unité, non seulement dans le style et dans les procédés, mais plus
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
3 me, qui tenait le corps du Christ pour une simple apparence , et l’Esprit pour la seule et vraie réalité. La plupart des grandes h
4 le vide30. Le monde phénoménal n’est plus qu’une apparence flottant sur l’océan sans rivages et sans fond de l’immatérielle Éner
4 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
5 endurent. Il serait puéril et vain, malgré tant d’ apparences , de leur dire aujourd’hui : « Reconnaissez vos torts. » Ils vivaient
5 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
6 eligieuses : le monde ne s’est manifesté dans ses apparences matérielles qu’à la faveur de son reflet, disent les Vedas. Point de
6 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
7 onnus ? Faut‑il croire qu’on désire seulement les apparences de l’union, sans vouloir en payer le prix ? Ou que l’on s’amuse à dis
7 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
8 avenir européen. Rien de plus logique, malgré les apparences un peu complexes. Mais l’électeur comprendra-t-il ? Je suis bien sûr
8 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
9 t le démon de l’immanence pure, le prisonnier des apparences du monde, le martyr de la sensation de plus en plus décevante et mépr
9 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
10 e exquise d’une civilisation. Et puis au-delà des apparences aimables ou rudes, sentimentales, austères ou savoureuses, cette dens