1 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
1 ns-nous pas forcés dans notre siècle — seuil de l’ atome ou seuil de l’inconscient, sens de la vue et de l’ouïe exercés au-del
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
2 la découverte philosophique de l’individu et de l’ atome , la Grèce ; celle qui conçut les droits du citoyen, Rome ; celle, enf
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
3 st pas une personne). Ainsi l’individu n’était qu’ atome , et la persona que valence ; l’un existait par soi, l’autre dans ses
4 mier et refuge ultime de l’idée de matérialité, l’ atome se résolvait en une sorte de vide animé d’on ne savait trop quoi, sau
4 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
5 tinue à vivre. On pourrait donc envoyer un corps, atome par atome, en une fraction de seconde, à l’autre bout du monde et l’y
6 vre. On pourrait donc envoyer un corps, atome par atome , en une fraction de seconde, à l’autre bout du monde et l’y recompose
7 r de trace. Mais, si les particules du noyau de l’ atome possèdent ainsi leur double « en creux », n’en va-t-il pas de même po
8 ble « en creux », n’en va-t-il pas de même pour l’ atome tout entier, par suite pour la matière formée d’atomes, finalement po
9 e tout entier, par suite pour la matière formée d’ atomes , finalement pour notre cosmos ? On voit le danger : le jour où notre
10 finitif effacera tout en un clin d’œil, — « en un atome de temps, comme l’écrivait saint Paul, à propos justement de la Fin d