1
raineté sans limites, par exemple, qui est un des
attributs
de Dieu ; ou celui de l’éternité, au mépris de toute vraisemblance. L
2
a matière ; car celle-ci a revêtu précisément les
attributs
que les matérialistes pensaient être ceux de l’Esprit : l’ubiquité, l
3
n, il en résulte que ce cosmos revêt certains des
attributs
de Dieu. Le divin prend alors les noms les plus bizarres : il est tan
4
ncipe immuable, la prescience et la totalité, ces
attributs
majeurs que les grandes religions avaient conçus comme ceux du Dieu s