1 e fut son attaque contre le christianisme moderne au nom du Christ de l’Évangile. Tous ses ouvrages esthétiques et philosophiques

2 tionaliste qui a fait tout cela. Et voyez : c’est au nom du même nationalisme — appuyé par les communistes — que vous attaquez au

3 dictature de Staline. Elle pourrait se justifier au nom du même prétexte : la dictature du Prolétariat, dogme intangible du marx

4 e est devenue la vertu même, pour ceux qui jugent au nom du « mouvement de l’Histoire ». Ces réalistes me diront : vous parlez au

5 les esclaves non payés), la direction collégiale ( au nom du prolétariat non consulté) suppose la dictature, et K. suppose Staline

6 la destruction de millions de koulaks par Staline au nom du progrès, était aussi monstrueuse que celle de millions de juifs par H

7 trueuse que celle de millions de juifs par Hitler au nom du racisme, et compromettait au surplus un idéal universel, ce que n’ava

8 st pas revenir à la démocratie, même si l’on tire au nom du bien de ceux qu’on tue. Et, pour tout dire, recevoir l’ordre d’être l

9 es chefs d’accusation produits par la « justice » au nom du « peuple » hongrois étaient proprement scandaleux, et visiblement fab

10 être jugée par quiconque. Et seul Sartre, parlant au nom du Socialisme, a le droit de protester contre les Russes. En effet, écri

11 Comment juger ? On ne le peut, précise Sartre, qu’ au nom du seul point de vue transcendant qu’il accepte, et qui est « le Sociali

12 vriers et leurs paysans se dressent contre Moscou au nom du socialisme. Leurs étudiants, leurs écrivains, leurs philosophes, témo

13 : Le zen nie le Dieu personnel, il ne le nie pas au nom du rationalisme, oh ! pas du tout, mais en vertu de son idée de l’Infini

14 e Rilke. Par un suprême dépassement des concepts, au nom du Sens qui est le But à l’infini. Le But, la Flèche et l’Homme Ka