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uand nous les aurons mesurées, nous verrons que l’
avenir
et le progrès sont de notre côté. Et alors, nous voudrons sauver notr
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présent ; bien plus, ils sont le gage d’un grand
avenir
. Voilà l’espoir des hommes. Il est chez nous. La seconde force dont n
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t Wall Street et ses sombres desseins1. Quant à l’
avenir
, il serait représenté par les tableaux de genre militaire du réalisme
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nous attendrons longtemps, l’aveu public de cet «
avenir
», je veux dire son exposition. Pourtant, il faut juger pareil procès
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tique, dès cette vie-ci, sera « rééduqué » pour l’
avenir
collectif. Nous voyons au contraire l’homme d’Europe chercher l’origi
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ation possible. Leur nostalgie n’était pas dans l’
avenir
, mais dans le temps mythique des origines ; le Paradis datait d’avant
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l’idée que là-bas, la démocratie marche mieux, l’
avenir
est plus ouvert, et les rapports humains plus francs et plus cordiaux
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nt trahir en donnant. C’est l’Europe qui crée son
avenir
et justifie sa raison d’être par des hommes qui se sacrifient au serv
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ys n’avaient plus d’autre issue pratique, d’autre
avenir
possible que dans l’union. Ce fut le dernier mot du rapport de Toynbe
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ostic ainsi posé, nous nous sommes tournés vers l’
avenir
: où allons-nous ? Et c’est M. Robert Schuman, en plein accord avec l
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re qui n’était pas seulement le statu quo, mais l’
avenir
commun de leurs peuples. Deux mois plus tard, tout est déjà changé. L
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la renaissance du nationalisme allemand, enfin l’
avenir
concret de l’Europe entière. L’échec déjà plus que probable de Bruxel
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’une nouvelle communauté non de naissance, mais d’
avenir
et de volonté. Toutefois, cette idéologie n’est pas le fait du peuple
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uf. Mais l’œuf est là, portant son germe et notre
avenir
, cet avenir qu’il nous faut accepter de dévisager hardiment. Le sé
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uf est là, portant son germe et notre avenir, cet
avenir
qu’il nous faut accepter de dévisager hardiment. Le sérieux de la
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irrésistible. D’où les innombrables études sur l’
avenir
probable de l’URSS : la plupart me semblent céder à la manie d’histor
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ais un peu moqué de leur propension à anticiper l’
avenir
… Ceterum censeo… Une seule chose est certaine : les échanges de per
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’idée de servir une Europe capable d’assurer leur
avenir
pacifique, mais aussi de leur offrir le grand risque commun de l’indé
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peut, du seul fait qu’on l’admette comme liée à l’
avenir
d’une union de l’Europe, faciliter les voies de cette union en rallia
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que la nécessité de s’unir les concerne et que l’
avenir
de cette union s’inscrit dans les données de leur dessein personnel.
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seule ? 2. — Non, car l’Europe est bien finie, l’
avenir
est aux USA, à l’URSS, à la Chine, à la Lune. — Qu’attendez-vous donc
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rouve ? On avait tout arrangé pour ça. » Sur l’
avenir
de l’URSS. — Depuis le XXe Congrès, qui a « déclaré » sa crise, le ré
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e des utopies, c’est qu’elles sont moins riches d’
avenir
que le présent. On peut même dire que l’Utopie se définit comme un sy
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ire que l’Utopie se définit comme un système sans
avenir
. Car ainsi que l’a bien vu Toynbee, les utopies sont en réalité « des
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e seul motif vraiment sérieux d’inquiétude pour l’
avenir
prochain. Déjà le remède est trouvé, c’est l’union fédérale de l’Euro
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ais renversent leur position quand il s’agit de l’
avenir
européen. Rien de plus logique, malgré les apparences un peu complexe
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confusion générale, mais ne préjugeaient pas de l’
avenir
du régime. Car la vie politique n’a jamais dépendu des articles et pa
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ous ne souhaiteriez le croire : responsables d’un
avenir
qui vous dépasse et vous appelle, et qui a besoin de vous, tant pis p
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t qui se définit comme tel ! Les philosophes de l’
avenir
réclameront le titre de « séducteurs ». Ils seront « curieux jusqu’au
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nt la dernière issue qu’ils voient encore vers un
avenir
plus libre. Priver un peuple entier de tout espoir n’est pas « consol
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ant les hommes d’État une image convaincante de l’
avenir
, capable d’orienter les volontés. Voilà bien la nécessité que le dram
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onc une utopie non seulement dangereuse mais sans
avenir
. c) L’Europe fédérée reste ainsi la seule solution praticable. Unir d
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vitable union européenne rendra possible ou non l’
avenir
de ce pays. Une Europe des États conviendrait à ravir à la majorité d
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d’union, et que si leurs divisions persistent, l’
avenir
appartiendra « soit à la Russie, soit à l’Amérique ». Germaine de Sta
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assurer la paix de l’Europe. « Si cet idéal de l’
avenir
se réalise un jour, écrit-il en 1875, la nationalité suisse devra s’i
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ait très fortement les risques de leur retour à l’
avenir
; 2°) que la neutralité suisse, en s’absolutisant jusqu’à devenir ta
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oici quelques raisons qui me portent à croire à l’
avenir
de ses formules. 1°) Le monde de demain sera de plus en plus réduit q
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vement de la Suisse une sorte de pays pilote de l’
avenir
européen. 1°) Dépositaire de la formule qui paraît la mieux adaptée a
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nt périmée, le « malaise suisse » demeure le seul
avenir
certain. Mais il est de la nature d’un malaise de se terminer plus ou
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une Suisse qui ne veut ou ne peut assumer ni son
avenir
ni son passé, que peut-on conseiller qui ne soit à la fois prématuré
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accompli, je propose mon dessein raisonnable d’un
avenir
possible de la Suisse. En voici le principe très simple. Les mêmes r
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en revanche beaucoup de motifs d’angoisse pour l’
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prochain de la Suisse si elle persiste en son double refus de partici
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e plus qu’il communique sa grâce très secrète à l’
avenir
européen. Car la Suisse détient un mystère, ou plutôt elle est ce mys
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rète les prétendues lois. Mais tout l’effort de l’
avenir
sera d’inventer, par réaction à ce qui se passe maintenant, le silenc
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ement assurés de leur droit de parler au nom de l’
avenir
… Il serait intéressant d’analyser dans ce procès-verbal les facteurs
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rtes, leur succès même risquait de compromettre l’
avenir
de notre idée européenne, comme risquait de le faire dans un autre do
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aujourd’hui en situation de choisir librement son
avenir
. Jusqu’à nous, point de choix économiques ni même peut-être politique
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du superflu. Mais dès lors que ce choix de notre
avenir
est libre, nous voici contraints de le faire, à nos risques et périls