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lture, la cause est entendue, vous n’êtes que des
barbares
: digests, Collier’s, Coca-Cola, Hollywood, comics et whisky. Il est
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nt et qui parlent comme cette dame. Ces hordes de
barbares
aux mollets nus qui se promènent sur Saint-Marc un regard ébaubi et d
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longtemps, ses vieilles vertus sont épuisées, les
barbares
vont le submerger… et vous l’aurez bien mérité. Ces déplorations polé
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la personne provoquée par la passion, cette idole
barbare
, qui n’est pas la même ! — À t’entendre, dit Agathe, il faudrait croi
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s malheureux qu’ils ne le sont ? Hélas, non ! Les
barbares
de tous les temps avaient plus de bonheur : ne nous y trompons pas. —