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à ces temps du xiiie siècle, où la marée mongole
battait
les portes d’une Europe encore moins défendue qu’aujourd’hui. Il y a
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re marié ? se demande Kierkegaard. Et lui, qui se
bat
aux avant-postes, aux frontières de l’esprit ? D’autre part, il redou
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e bât les blesse. D’autres parlent d’humilité, et
battent
la coulpe de l’Europe colonialiste sur la poitrine des fédéralistes.
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hit un fléchissement de la vie spirituelle. C’est
battre
la table à laquelle on s’est heurté. Mais c’est aussi cacher ses dout
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as pu crier au fou du vivant de Staline… Ainsi K.
bat
sa coulpe sur les joues de Thorez, de Duclos et de Togliatti. Le bon
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si les Français et les Allemands décidaient de se
battre
demain, ils ne pourraient plus le faire qu’à coups de bâton. D’autres
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wagons et leurs avions, si elles décidaient de se
battre
, elles ne pourraient plus le faire qu’à coups de bâtons et de pages d
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u même but ! Avouez qu’il n’y a pas là de quoi se
battre
… À ceux qui croyaient voir quelque contradiction entre la politique d
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spirituel — se marier, s’il doit jour et nuit se
battre
non pas contre les Tartares et les Scythes, mais contre les hordes de
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l’action, sinon le cri qu’on attend d’elle ? Ici
bat
le cœur de l’Europe. C’est ici que l’Europe devrait se déclarer, jure
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délibérés, concertés à long terme : il fallait se
battre
pour survivre. Aujourd’hui que le nécessaire est assuré, on se bat po
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. Aujourd’hui que le nécessaire est assuré, on se
bat
pour le contrôle de zones d’influence plus idéologiques que commercia