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mble, à ceux qu’imposent aux néophytes les moines
bouddhistes
de la secte du zen. Pourtant, le thème profond, omniprésent, de l’œuv
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réponse erronée. (Ainsi fait-on dans les couvents
bouddhistes
du Japon.)82 Et justement Kassner serrait deux cannes dans ses énorme
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ant qu’il ait jamais voulu donner un enseignement
bouddhiste
, ni se présenter après coup « comme un extravagant maître du zen » !
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la vision (dirait Kassner) du satori (disent les
bouddhistes
) l’Un et le Tout, l’individu et le sens final91. J’en reviens donc à
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st bien cette volupté qu’on pourrait qualifier de
bouddhiste
… Si j’avais pu revoir Kassner, l’hiver dernier, venant de lire son es