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es du Japon.)82 Et justement Kassner serrait deux
cannes
dans ses énormes mains d’infirme — paralysé des jambes dès le berceau
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vures. 83. Kassner s’obligeait à marcher sur ses
cannes
plusieurs heures par jour : « Depuis le temps de mon semestre à Berli
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omeneur de la littérature universelle, malgré mes
cannes
ou à cause d’elles. Ce qui ne signifie pas grand-chose pour la littér