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ais dans le but de faire l’apologie esthétique du
capitalisme
», I. V. Kemenov, Les Deux Cultures, Moscou, 1947. Ce Kemenov était à
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in sous sa forme moderne que l’on devait dénommer
capitalisme
, se soit emparée de ces données, le contraire eût été surprenant. Mai
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données, le contraire eût été surprenant. Mais le
capitalisme
n’a rien créé : il a financé le « Progrès », sans bénéfice pour ses a
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e majorité de traîtres et d’espions au service du
capitalisme
, soit (comme nous le pensions, et K. le confirme) par une minorité de
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mots, et tabous : révolution, contre-révolution,
capitalisme
, réaction, gauche et droite, stalinisme et fascisme, dictature, liber
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’anticapitalisme systématique des communistes, le
capitalisme
n’étant pas un système cohérent, encore moins un régime totalitaire.
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péenne, qui relève de la mentalité prélogique. Le
capitalisme
au xxe siècle et les États-Unis, sont des amas de réalités, non des
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d’abord, vous n’en auriez nullement conclu que le
capitalisme
est bon. Et vous auriez eu bien raison, mais cette lucidité à sens un
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s’en va discourir devant les grands seigneurs du
capitalisme
yankee. Ce tsar qui se fait ouvrier, cet ouvrier qui s’est fait tsar
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ou de la social-démocratie européenne, voire du «
capitalisme
» américain. K. se contente d’affirmer que le communisme atteindra mi
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affirmer que le communisme atteindra mieux que le
capitalisme
les buts suivants : « amélioration de la vie matérielle et spirituell
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sens de l’Histoire, Ike les intérêts immédiats du
capitalisme
aux abois. Après le voyage de K. les peuples vont sentir — très lente
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d’exploitation des travailleurs qui correspond au
capitalisme
des années 1880 ; mais il est certain que ces deux peuples sont desti
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u Saroyan aient jamais défendu l’impérialisme, le
capitalisme
, le colonialisme… » Cependant, selon l’auteur du Dégel, il convient d