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élémentaire et primordial, celui de la vie d’une
cellule
. On sait aujourd’hui que cette vie dépend de l’action simultanée de d
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s protéines. Tant que les deux sont à l’œuvre, la
cellule
fonctionne bien, son régime d’échanges et de synthèses est créateur :
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es minutes ou quelques heures plus tard, c’est la
cellule
elle-même, modifiée dans son « âme » (c’est-à-dire dans le programme
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’à ce qu’elle meure par éclatement, infectant les
cellules
voisines. Ainsi se propage la contagion dans un organe. Mais après to
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un composé de substances analogues à celles de la
cellule
, sauf en ceci qu’il ne renferme qu’un seul des acides nucléiques. À c
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eut se propager et se reproduire qu’aux dépens de
cellules
vivantes : sans elles, il ne peut subsister.) Imaginons maintenant un
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une âme individuelle, ou même un couple, cette «
cellule
sociale » : son bonheur sera conditionné par la présence des deux ten