1
, et droit de n’en choisir aucune ; droit d’élire
ceux
que nous voulons et de les traiter ensuite de scélérats ; droit de pr
2
er, c’est de les faire passer du plan des faits à
celui
de nos consciences et de nos volontés ; c’est d’appeler toutes nos fo
3
res de jugement intellectuels et artistiques sont
ceux
qu’impose l’intérêt du Parti, intérêt confondu une fois pour toutes a
4
ombay pour condamner la neutralité en général, et
celle
de l’Inde en particulier. Personnellement, je tiens à prendre ici une
5
ais si je rentre dans mon domaine propre, qui est
celui
de la culture, je constate que la neutralité simplement n’y existe pa
6
laration de mauvaise conscience culturelle, comme
celle
que je citais plus haut — et dans l’esprit de ceux qui l’applaudirent
7
lle que je citais plus haut — et dans l’esprit de
ceux
qui l’applaudirent — il n’y a pas l’ombre d’une raison. Mais chacun v
8
Plus nombreux qu’ils ne voudraient le croire sont
ceux
qui nous répètent, depuis vingt ans, que l’état de nos arts est la pr
9
au rôle épisodique qui, précisément, fut toujours
celui
des pouvoirs politiques, de leurs goûts et de leurs censures, dans le
10
ien d’autres problèmes. Le premier me paraît être
celui
de la prise de conscience d’une époque non par ses héritiers, mais pa
11
ence d’une époque non par ses héritiers, mais par
ceux
qui la vivent. On ne voit pas de précédent à l’entreprise, dans l’ère
12
r avec des masses immenses. Mais ces deux maxima,
celui
de la découverte et celui de l’audience accessible, se révèlent prati
13
. Mais ces deux maxima, celui de la découverte et
celui
de l’audience accessible, se révèlent pratiquement contradictoires. F
14
ces qui diffèrent (ou du moins il s’en flatte) de
celles
qui sont censées régner, ses talents qu’il expérimente, enfin sa voca
15
ue la résultante de trois grandes civilisations :
celle
qui permit la découverte philosophique de l’individu et de l’atome, l
16
osophique de l’individu et de l’atome, la Grèce ;
celle
qui conçut les droits du citoyen, Rome ; celle, enfin, qui a donné au
17
; celle qui conçut les droits du citoyen, Rome ;
celle
, enfin, qui a donné au monde la notion totalement nouvelle de l’incar
18
hommes touchés par l’idéologie communiste étaient
ceux
que l’Occident avait contaminés : jeunes intellectuels éduqués en Ang
19
ondité possible, il faut avoir sucé avec le lait (
celui
d’une Alma Mater tout au moins) les conceptions primitivement chrétie
20
Europe connaît d’ailleurs un être intermédiaire :
celui
qui a le sens de l’humour. L’Occident a créé l’étatisme, lequel tend
21
a possession du sense of humour : ils pensent que
celui
qui ne l’a pas, n’a pas non plus le vrai sens de la vie. Je n’oublie
22
anisme primitif. Toutes les religions antiques et
celles
de l’Asie, étaient des religions an-historiques, en ce sens qu’elles
23
e notre confort, mais aussi et peut-être surtout,
celle
de nos risques personnels, des occasions et des moyens de nous décide
24
e pour moi — dira tout véritable Européen — c’est
celle
de me réaliser ; de chercher, de trouver et de vivre ma vérité, non c
25
e chercher, de trouver et de vivre ma vérité, non
celle
des autres, et non celle que l’État ou le Parti a décidé de m’imposer
26
de vivre ma vérité, non celle des autres, et non
celle
que l’État ou le Parti a décidé de m’imposer toute faite. Si je perda
27
du moi distinct, des individus, des personnes, de
ceux
qui veulent se rendre compte de leur vie pour leur propre compte, et
28
s civilisations qui précédèrent les nôtres et sur
celles
qui subsistent au xxe siècle. Nous avons déchiffré leurs hiéroglyphe
29
de conscience — et j’opposerai cette expression à
celle
de volonté de puissance. Troisième remarque : l’Europe ne se borne pa
30
unir pour la sauver ? Je réponds que ce n’est pas
celle
des turbines, mais celle de l’inventeur de la turbine ; non pas l’Eur
31
réponds que ce n’est pas celle des turbines, mais
celle
de l’inventeur de la turbine ; non pas l’Europe des faits, mais celle
32
de la turbine ; non pas l’Europe des faits, mais
celle
des actes. Sur le plan des faits bruts, l’Amérique nous dépasse, l’ar
33
chez nous, ce sera notre faute encore, autant que
celle
des USA. Les digests, que nous lisons par millions, ne sont tout de m
34
le choix de plusieurs thèmes d’activité, retenir
celui
qui semblait avoir des chances d’intéresser l’argent américain, et re
35
es d’intéresser l’argent américain, et renoncer à
ceux
qui intéresseraient l’Europe et les vrais moyens de l’unir. Inverseme
36
recherches. b) Les représentants de l’Amérique et
ceux
de l’Europe doivent être choisis au même niveau de culture et de resp
37
rt. Ainsi le drame de Kierkegaard fut typiquement
celui
d’une vocation. Toute son intrigue consiste dans le dévoilement progr
38
plus saillants du drame inventé par Shakespeare,
ceux
qui évoquent à première vue le drame vécu par Kierkegaard et nous sug
39
immense illusion. Il ne ressemble pas davantage à
celui
du Nouveau Testament que le salon du petit-bourgeois ou la salle de j
40
a son secret ambigu, le secret de sa vocation et
celui
de sa mélancolie. Or il comprend bientôt que le secret serait trop lo
41
loge funèbre, crut devoir saluer sa mémoire comme
celle
d’un « vrai témoin de la vérité ». Dans cette phrase était le poison,
42
illustrer, par le moyen d’images connues de tous,
celles
de Shakespeare, certains moments mystérieux d’une dialectique tout in
43
t intérieure. On sent le risque de l’entreprise :
celui
de l’ingéniosité. C’est le risque technique, pour ainsi dire, de tout
44
: Je ne suis qu’un enfant. Car tu iras vers tous
ceux
auprès de qui je t’enverrai, et tu diras tout ce que je t’ordonnerai…
45
part une seconde fois, pour des raisons qui sont
celles
de l’esprit — bien que, dans ce cas particulier, la nature et l’appel
46
dans notre idée courante de la vocation n’est pas
celle
qui retient Kierkegaard. Il en a distingué une autre, plus intime, qu
47
ieu, et l’on ne peut que « croire » une vocation,
celle
d’un autre, mais aussi et d’abord celle que l’on « croit » avoir reçu
48
vocation, celle d’un autre, mais aussi et d’abord
celle
que l’on « croit » avoir reçue soi-même. Ainsi l’incertitude est obje
49
À cela, nous ajouterons l’incertitude subjective,
celle
qui concerne les motifs qui peuvent pousser l’individu à faire ceci o
50
faites à titre privé se trouvaient être justement
celles
que je devais faire comme auteur. Je n’arrivais pas à comprendre comm
51
se pas d’insister sur cette dernière catégorie. «
Celui
qui ne renonce pas à la vraisemblance n’entre jamais en relation avec
52
ère plus ou moins dépendant d’un autre ministère (
celui
des finances, par exemple) et contrôlé par la majorité d’un parlement
53
budget annuel de neuf millions de dollars, comme
celui
de l’Unesco, est gigantesque. Au regard des tâches mondiales que l’Un
54
lui-même à des pressions d’un ordre différent de
celui
de la culture. Il suppose certes des liaisons multipliées entre foyer
55
les « planifier » sur une échelle qui n’est plus
celle
du rayonnement normal et sensible des foyers de base. 3. Initiative e
56
s unies, soit comme nous le pensons préférable, à
celle
du Conseil de l’Europe ? Les taches normales de l’État en général. Tâ
57
u’écrasée dans le sang, marque la fin d’une ère :
celle
du mythe communiste qui, pendant trente-six ans, domina la conscience
58
vait aussi qu’il était le parti du travail forcé,
celui
qui venait de « réaliser », par les mains de cent-mille esclaves, le
59
mière serait d’excuser le péché des bourgeois par
celui
des Soviets ; mais la seconde, nous l’avons sous les yeux, consiste à
60
sons de reprendre confiance dans une culture, que
ceux
qui en sont indignes, et qui le prouvent par là même, ont voulu quali
61
péra de Moscou est certainement plus enviable que
celui
d’un savant qui doit apprendre et professer la génétique selon Lyssen
62
prenez, de nos jours, une petite invention comme
celle
de la télévision ; en quelques années, en quelques mois, voici qu’ell
63
it moderne. Par une chance rare, elles sont aussi
celles
qui passionnent le grand public. On comprend que le Congrès pour la L
64
, bref cet esprit de la Renaissance qui fut aussi
celui
de l’essor scientifique. C’était votre cité libre et hanséatique, don
65
séatique, dont le génie nous semblait incarné par
celui
qui a la charge de l’administrer, ce grand Bürgermeister qui est auss
66
on apparente entre l’exigence d’unir nos pays, et
celle
de sauvegarder les diversités qui ont fait la richesse de l’Europe, e
67
double défi qu’affrontent plusieurs de nos pays :
celui
de passer du régime colonial à l’association dans l’égalité, et celui
68
égime colonial à l’association dans l’égalité, et
celui
de compenser la perte de nos positions économiques dans le monde, la
69
Elles tournent toutes autour d’un même problème,
celui
de l’attitude d’esprit nécessaire pour penser l’Europe. Voir l’Eur
70
r les communistes — que vous attaquez aujourd’hui
ceux
qui veulent mettre fin à la cause de ces maux, ceux qui entendent sau
71
ux qui veulent mettre fin à la cause de ces maux,
ceux
qui entendent sauver par la fédération le meilleur de notre culture :
72
llusoire, est la racine des pires impérialismes :
ceux
qui se déguisent en entreprises missionnaires, comme jadis les croisa
73
cliniques d’un complexe. D’où la difficulté, pour
ceux
qui en sont victimes, de s’adapter aux réalités changeantes du siècle
74
igibles, et nourriront les plus fatales erreurs :
celles
qui permettent l’acceptation de nos guerres intérieures par nos peupl
75
eté fictive. » C’est ainsi que l’on doit rassurer
ceux
qui tremblent, disent-ils, de voir leur patrie « se perdre dans la ma
76
sme rhétorique. Il doit rester incompréhensible à
ceux
qui, n’apercevant pas de différence sérieuse entre une contradiction
77
aisible succès. Il m’apparaît urgent et vital que
ceux
qui s’occupent de l’Europe fassent l’effort de s’assimiler l’ABC du f
78
s, je ne sais plus quelle Europe nous défendrons.
Celle
dont je parle est une notion de l’homme, et non pas une somme d’intér
79
surgir du seul contraste entre deux conférences,
celle
de Berlin et celle de Genève. Berlin fut un échec sur les principaux
80
traste entre deux conférences, celle de Berlin et
celle
de Genève. Berlin fut un échec sur les principaux points à son ordre
81
aison — d’inspirer quelque crainte à l’URSS. Pour
ceux
qui doutent encore que le vrai but de Genève, dans l’esprit de Moloto
82
x Français, d’abord, qu’on voudrait s’adresser, à
ceux
qui sentiront l’amitié d’un appel trop angoissé pour ménager ses term
83
us qu’une manière de parler. C’est l’invention de
ceux
qui ont décidé qu’après Wagner, il n’y avait plus que des bruits désa
84
sion ne désigne pas une unité définissable, sinon
celle
d’un refus global d’entendre et d’essayer de comprendre tout ce qui f
85
ns notre siècle. Bref, la « musique moderne » est
celle
que l’on n’aime pas. (Parce qu’elle ne ressemble pas à celle que l’on
86
’on n’aime pas. (Parce qu’elle ne ressemble pas à
celle
que l’on aimait.) Parler de musique « moderne » en général, comme on
87
tent des différences de style aussi radicales que
celles
qui séparent nos « modernes », Hindemith et Berg, par exemple, ou Bar
88
dire autrement que le dernier qui a parlé et que
ceux
qui l’ont précédé. Mais les grands ont tous commencé par parler le la
89
Comment remédier à cette situation, qui est aussi
celle
de la peinture et de la poésie au xxe siècle ? Il me semble que ceux
90
et de la poésie au xxe siècle ? Il me semble que
ceux
qui tiennent la clé de ce problème vital pour la culture sont bien mo
91
r la culture sont bien moins les compositeurs que
ceux
qui font les programmes des concerts et qui décident du choix des enr
92
plus le public en deviendra contemporain, et plus
ceux
qui composent se rapprocheront de la sensibilité mieux éduquée d’une
93
Il y a là, semble-t-il, un bel encouragement pour
ceux
des festivals européens qui tentent de donner du « nouveau », c’est-à
94
pectacle que préparaient dans une ombre fiévreuse
ceux
qu’il venait de désigner (dans une lettre encore inédite) comme les «
95
d’unification forcée. Ce contraste est bien moins
celui
de deux régimes — dictature et démocratie — que celui plus profond de
96
i de deux régimes — dictature et démocratie — que
celui
plus profond de deux qualités d’âme. Napoléon, Hitler, ont rêvé de «
97
mais assez bien pour que sa mort m’éprouve comme
celle
d’un ami. Ce fut à l’occasion de la table ronde convoquée l’an dernie
98
e de son autorité, un certain humour très direct,
celui
de son honnêteté. (Les dictateurs sont sans humour, et ne connaissent
99
incarne ne nous apparaît pas moins redoutable que
celle
qui exigeait la démission de Delcassé. » Paraphrasons : une Allemagne
100
itiques de la Russie doivent être adaptées, comme
celles
des autres nations, à l’évolution économique et sociale du pays. Il e
101
commandait de passer de la dictature d’un seul à
celle
de plusieurs ; de la liquidation des koulaks à celle des kolkhozes ;
102
le de plusieurs ; de la liquidation des koulaks à
celle
des kolkhozes ; de l’accusation contre les médecins de Staline à leur
103
le profane et lui dit à son tour comme Augustin à
celui
que sa foi délivre de la loi : ama et fac quod vis ! La passion de Tr
104
assion ne peut rêver d’autre horizon d’espoir que
celui
de la métempsycose. « Notre engagement n’était pas pris pour cette vi
105
ion des « ennemis de la liberté », appelant ainsi
ceux
qui diffèrent et pourraient donc devenir ses juges. D’où la Terreur i
106
s jugerait dans l’irréel, j’ai dit pourquoi. Mais
ceux
qui croient encore que ces révolutions auraient « objectivement » ser
107
es victimes, de nos révolutions « libératrices ».
Celles
-ci n’ont triomphé que de régimes séniles, et dont la « tyrannie », si
108
iles, et dont la « tyrannie », si on la compare à
celles
des disciplines d’État qui leur ont succédé, fut maintes fois baptisé
109
oser la vouloir vraiment, faisant leurs dieux de
ceux
qui en dictaient les formules dans les termes sadiques et hautains qu
110
», s’écriaient les jacobins, et la mort était là,
celle
des autres d’abord, mais la Liberté se voilait — laissant ensuite se
111
at français, a conduit à des guerres d’agression.
Celles
-ci ont fait surgir d’autres nationalismes, qui vont revendiquer à leu
112
isme, mais tout aussi jaloux et même hargneux que
celui
des grands voisins. Aucun de ces « concepts de l’Esprit » ne parvenan
113
ituellement indigne et matériellement incapable :
celui
de la souveraineté sans limites, par exemple, qui est un des attribut
114
ar exemple, qui est un des attributs de Dieu ; ou
celui
de l’éternité, au mépris de toute vraisemblance. La « France éternell
115
eur des fruits.) À cette même crainte se rattache
celle
de voir s’évanouir, avec l’Europe, la meilleure chance d’un vrai dial
116
bstituant impatiemment à l’objet de son espérance
celui
d’une immédiate jouissance. La même ardeur l’anime, le même élan de f
117
e y avait élevé les mêmes prétentions. Mais comme
celles
-ci n’étaient pas admises, elle devint militante, et tout en se dévelo
118
e Foi ! C’est la Foi des Apôtres ! » « Anathème à
celui
qui ne croit pas ainsi ! Chassez Eusèbe, qu’on le coupe en morceaux !
119
finitions à peine différentes des anciennes ou de
celles
qu’il s’agit d’écarter — les unes comme les autres, d’ailleurs, peu c
120
tir des Personnes divines, et particulièrement de
celle
du Christ, vrai Dieu et vrai homme à la fois. Le problème était le su
121
et l’Empire (guelfes et gibelins) reflète encore
celle
du divin et de l’humain (au prix des équivoques et des abus que l’on
122
hèse « catholique »… Une démonstration analogue à
celle
que je viens d’esquisser en partant de la christologie pourrait être
123
spérance, d’être à son tour interprété et révélé…
Celui
qui estime vraiment que le monde est absurde, on sent qu’il peut en f
124
onfirmera l’intuition de Descartes, qui fut aussi
celle
de Newton et de Kepler. c) Les vertus scientifiques. — La non-absu
125
ité. Car la vérité, pour la foi, ne peut être que
celle
de Dieu, même quand elle semble nuire au groupe, à la tribu, à leurs
126
ais les « certitudes » de la pensée matérialiste.
Celles
-ci se fondaient sur l’idée fixe que la preuve de réalité dans tous le
127
es attributs que les matérialistes pensaient être
ceux
de l’Esprit : l’ubiquité, l’invisibilité, une certaine indéterminatio
128
médiéval28 — la science de la matière, au lieu de
celle
de l’esprit. Ce choix n’est donc pas scientifique, mais proprement th
129
re en général sur d’assez grossières confusions :
celle
du temps infini et de l’Éternité, celle enfin de l’immanence et de la
130
fusions : celle du temps infini et de l’Éternité,
celle
enfin de l’immanence et de la transcendance, dès l’instant que la pre
131
on : elle nous juge et pose nos limites, qui sont
celles
du savoir humain, mais elle pose en même temps l’existence de l’idée
132
rs que les grandes religions avaient conçus comme
ceux
du Dieu suprême, la physique et la mathématique peuvent les transfére
133
Cosmos. Mais le Dieu que prient les chrétiens est
celui
qui s’est fait connaître par cela justement que la science ne connaît
134
iade de Schelling : Sujet, Objet, Sujet-Objet, et
celle
de Hegel : l’en-soi de l’esprit subjectif (thèse), le pour-soi de l’e
135
eurés impensables sur tout autre arrière-plan que
celui
de la dogmatique chrétienne, car ils ne représentent en réalité que d
136
e ? Et la théologie du temps — je pense surtout à
celle
des pays protestants, les plus féconds, alors, du point de vue scient
137
la superstition scientifique est plus aveugle que
celle
qu’on reprochait au Moyen Âge. Car les vérités théologiques d’alors é
138
es bourgeois s’en sont toujours gardé. Et quant à
ceux
qui ont décidé de sortir du monde et de se remettre à tisser leurs vê
139
monde moderne, faute de changer ce monde, modifie
ceux
qui le jugent : elle augmente l’insécurité et le pessimisme des masse
140
z nous jusqu’à la Renaissance, ne dépassent guère
celles
de l’Asie jusqu’à l’invention des machines. Vers 1800, tout va change
141
ples anciens. L’histoire des inventions n’est pas
celle
de besoins qui auraient existé avant elles. Sa logique n’est pas cell
142
auraient existé avant elles. Sa logique n’est pas
celle
de l’utile, mais du jeu33. Or qui dit jeu dit règles fixes. Ce qu’il
143
, la liberté de circuler au loin, ou au contraire
celle
de s’enraciner en dépit des changements naturels, la faculté de réali
144
devenu très favorable aux entreprises brutales de
ceux
que l’on baptise « capitaines d’industrie » et qui s’inspirent et s’a
145
meilleurs savants, et surtout une autre visée que
celle
qui orientait leurs travaux. Nous savons aujourd’hui que le rêve des
146
importante, du point de vue de la technique, que
celle
des alchimistes aux piétistes allemands, et de ces derniers aux fonda
147
s humains » de l’opération dès ses débuts37. Pour
ceux
qui en ont tiré bénéfice matériel, ils l’ont payé d’un prix moins vis
148
endant tout le siècle dernier, dépasse sans doute
celui
des tués des camps nazis, sinon celui des morts de Kolyma et autres l
149
sans doute celui des tués des camps nazis, sinon
celui
des morts de Kolyma et autres lieux de rééducation. Au xxe siècle, l
150
pe, mais l’amélioration des techniques agricoles (
celle
en particulier de l’attelage des chevaux au moyen d’un licol rigide).
151
alors vers une morale nihiliste, sa maxime étant
celle
d’une action « sans pourquoi ni vers quoi », sans cause ni but. On re
152
ssionnant. Alors le « sérieux » changera de camp.
Celui
dont le rôle sera d’administrer l’immense usine sans ouvriers régnera
153
’il en appelle de la dictature d’un paranoïaque à
celle
de ses favoris. Au vrai, ce n’est pas tel ou tel trait de folie d’un
154
à la vertu. Elle est devenue la vertu même, pour
ceux
qui jugent au nom du « mouvement de l’Histoire ». Ces réalistes me di
155
noïaque. S’offrir pour une Relève des Innocents —
ceux
qu’ils durent condamner sur ordre, nous disent-ils — ne serait-ce pas
156
existant, hélas ! au-dessus des despotes — est de
ceux
qui dégradent non seulement un régime et les idéaux qu’il proclame, m
157
stalinisme » peut encore se porter aussi bien que
ceux
qui ont liquidé Staline ; ou qu’au contraire, le dépassement du « sta
158
it avoir fait son temps. La seconde hypothèse est
celle
d’Isaac Deutscher, reprise et approuvée presque dans les mêmes termes
159
s lignes d’une clarté limpide, mais trompeuse : «
Ceux
qui gouvernent en URSS, je reconnais qu’ils ont eu des postes et des
160
odes fondamentales, lesquelles étaient et restent
celles
de la dictature ; que le « stalinisme », si on en défalque Staline, n
161
e une certaine position, on s’en tire en disant :
celui
qui est toujours contre, il faut bien qu’il soit payé pour…50 L’anti
162
fs totalitaires ; 2. que la guerre contre Hitler (
celle
que les communistes qualifiaient au début d’« impérialiste », leur pa
163
ne au nom du progrès, était aussi monstrueuse que
celle
de millions de juifs par Hitler au nom du racisme, et compromettait a
164
doctrines et par les mêmes procédés délirants que
ceux
de Boukharine, Zinoviev et consorts, et que celui de Beria et de ses
165
ceux de Boukharine, Zinoviev et consorts, et que
celui
de Beria et de ses agents, prouvaient que les États communistes étaie
166
a démocratie, même si l’on tire au nom du bien de
ceux
qu’on tue. Et, pour tout dire, recevoir l’ordre d’être libre, de tell
167
. Les anticommunistes vulgaires seraient-ils donc
ceux
qui n’ont pas de nom ? Il faut pourtant bien qu’ils existent : où ser
168
arnation incontestée du communisme, n’étaient pas
ceux
de la fin que Staline alléguait, ni dans le fait (comme nous le disio
169
aquelle ils vivent, qu’ils existent, n’est pas de
celles
dont on peut se tirer par un raisonnement plus correct, ni par un sup
170
technique, et ne peut récuser qu’un seul ordre :
celui
de ne plus obéir. Le mouvement de l’Histoire, espiègle pour une fois,
171
s années, sans problèmes : on se borne à liquider
ceux
qui refusent de se peindre. Mais voici que le même chef, un beau jour
172
t à se débarrasser des entraves dogmatiques et de
ceux
qui les vénèrent… À supposer que l’arrière-pensée d’un K. soit quelqu
173
par l’Histoire », — comme le sont dès maintenant
ceux
qui s’accrochent encore à l’utopie marxiste, plus lente que la techni
174
n’est rien d’autre que la force, la vraie force,
celle
qui naît de la confiance en ce que l’on croit. J’en conclus qu’il fau
175
la folie acclamée du dictateur. Des poèmes comme
ceux
d’Aragon à la gloire de Staline (il rend les peuples féconds !) n’ont
176
éristique des peuples occidentaux, a toujours été
celle
du mouvement libérateur, de la découverte et des échanges. L’une tend
177
ie question que pose le geste de Nasser n’est pas
celle
de la souveraineté de son pays, mais bien celle de l’indépendance de
178
s celle de la souveraineté de son pays, mais bien
celle
de l’indépendance de toute l’Europe. La vraie réponse ne sera donc pa
179
toujours pas de quelle Europe vous parlez. B. De
celle
qu’il nous faut faire, ne fût-ce que pour sauver l’objet de notre dia
180
notre dialogue — et tout dialogue, peut-être. De
celle
où vous êtes né comme moi, si je ne me trompe, et qui meurt de vos do
181
tionale qui a passé curieusement inaperçue, c’est
celle
qui vient de se tenir à Genève sur l’esclavage. Elle a pris connaissa
182
e l’impérialisme, notion que l’on sent voisine de
celle
d’esclavagisme… Que l’URSS, en fait, soit la patrie des camps, de l’i
183
qui ne concède rien ni à l’attente du public ni à
celle
des critiques, ni même au style de sa récente période néo-classique :
184
ne échelle des valeurs un peu plus défendable que
celle
qui prévaut dans ce siècle. Bartók ne gagne pas de quoi se payer la c
185
pas découvert l’Amérique, et lui-même n’était pas
celui
que l’on croit, mais un juif espagnol converti, qui avait conçu l’idé
186
quelque rêve qui la dirige, et qu’elle trahit. «
Celui
qui vend des bœufs, rêve de bœufs », dit le proverbe. L’inverse est a
187
roverbe. L’inverse est aussi vrai, naturellement.
Celui
qui rêve de satellites en crée, quitte à les affamer ou à subir leur
188
, on ira la chercher dans un temps qui n’est plus
celui
de l’Histoire : il est question que l’URSS et les États-Unis lancent
189
couverte de l’antineutron va plus loin que toutes
celles
que l’homme a jamais faites par le moyen des sciences physiques, puis
190
Honte à nous tous Européens ! Et pas seulement à
ceux
qui se trompaient et voulaient à tout prix nous tromper depuis dix an
191
e sens de l’honneur, s’il en subsiste encore chez
ceux
qui approuvent ce crime. Quelle est l’arme des hommes qui n’en ont po
192
es et des relations humaines élémentaires, contre
ceux
qui chez nous, librement, approuvent le crime de Budapest, et contre
193
e, la solidarité qui nous contraint à rompre avec
ceux
qui les tuent.) Mardi 6 novembre 1956 Manifestes partout, de ga
194
tous protestants, mais qui vécurent en paix avec
ceux
qu’ils enrichissaient. En même temps, il faisait bâtir une église neu
195
ulta ; une guerre civile, non moins affreuse que
celle
de la Ligue, désola ce pays. » Voici sur le problème des tournants à
196
sur elle) y trouverait de réels avantages, outre
celui
de ne pas se faire massacrer quand elle demande du pain, la paix, la
197
e-t-il donc ? Dans la confusion générale, qui est
celle
où s’élaborent habituellement les notions vagues et puissantes, comme
198
ire entrevoir un péril jusqu’alors inconcevable :
celui
d’une paix conclue sur notre dos, au prix de nos libertés, de notre i
199
Ces arguments ne manquent pas d’être invoqués par
ceux
qui trouvent dans la neutralité un alibi décent de « l’apaisement » m
200
otif d’un autre ordre hésite à se définir : c’est
celui
de certains « Européistes » qui se demandent si l’union nécessaire n’
201
idée se répand d’une neutralité de l’Europe. Mais
ceux
qui en parlent sont les mêmes qui me disaient hier encore : « Qu’est-
202
ie neutralité (donc limitée et contingente, comme
celle
des Suisses) sont réalisés en Europe, pour l’ensemble de nos nations
203
considérée comme un objectif souhaitable que par
ceux
qu’animerait en même temps une ferme volonté d’union. Une tentativ
204
x autres et se range automatiquement aux côtés de
celui
qui est attaqué. Ceci produit l’arrêt du jeu entre les Trois (paix oc
205
de faire reproche à Sartre d’avoir approuvé hier
ceux
auxquels il donne tort aujourd’hui. Les dialecticiens qui avaient eu
206
ratégique derrière un rideau d’insultes lancées à
ceux
qui osent condamner le crime sans avoir été les complices de la polit
207
ue ( !) un autre : seuls peuvent et doivent juger
ceux
qui participent, à l’Est et à l’Ouest, au mouvement du Socialisme ».
208
u mieux, elle constitue un privilège comparable à
celui
que donne à l’adversaire plus faible le joueur qui accepte un handica
209
ait, chacun peut voir que le Parti communiste est
celui
des privilégiés dans tous les pays où il détient le pouvoir. En Franc
210
libéral, et je crois bien qu’il n’est pas une de
celles
qu’on lui opposera, que Suzanne Labin n’ait déjà placée dans la bouch
211
scientifique, n’existe, en tant que tel, que pour
ceux
qui le formulent. Il est donc impossible, par définition, qu’il détie
212
do-libéraux Refuser l’usage de la force contre
ceux
qui ont juré d’en abuser, ce n’est pas laisser des chances égales à t
213
« superficielles », non sans raison, car ce sont
celles
qu’on lui attribue. Mais on admet pourtant « qu’il paraît tomber just
214
drame de la seconde moitié du xxe siècle englobe
celui
de la Russie soviétique et le dépasse très largement. C’est le drame
215
étés « primitives » par rapport à ce mode de vie,
celles
qui se trouvent sans défense contre lui. Ce sont peut-être toutes les
216
e le drame algérien l’intéresse vitalement, étant
celui
de l’aventure occidentale tout entière ? Et les autres pays de l’Euro
217
vant-garde exposée ? L’échéance de septembre sera
celle
de l’Europe, au-delà de la France déchirée. Et de l’Occident peut-êtr
218
gressive et prudente. Trop petite ! vont répétant
ceux
qui en ont déjà peur. Bon début, disent les autres, si l’on ne s’arrê
219
ter tranquille dans son petit milieu « naturel ».
Ceux
qui n’aiment pas l’artificiel n’ont qu’à brouter. A. — Vous êtes bien
220
Place est sublime. Il faut en interdire l’accès à
ceux
qui pensent et qui parlent comme cette dame. Ces hordes de barbares a
221
e le permis de voyager, et qu’on ne le donne qu’à
ceux
qui auront passé une série d’examens un peu subtils, prouvant au moin
222
, pour éviter de faire face aux réalités. Quant à
ceux
qui viennent nous parler de « démocratie populaire », ils font un men
223
ler et Mussolini ayant raillé la Démocratie, tous
ceux
que leur système révoltait à juste titre ont cru devoir du même coup
224
es égaux, ils ne feraient jamais d’élections, car
celles
-ci visent au choix des meilleurs. Ils mettraient simplement au pouvoi
225
s meilleurs. Ils mettraient simplement au pouvoir
ceux
dont le nom commence par A, puis par B, puis par C, jusqu’à Z et reto
226
garde et vous mettiez en parallèle son cynisme et
celui
de la politique française. Mais les deux choses sont sans rapports en
227
rime un parti pris très net, qui est l’inverse de
celui
qui vous déprime. Or je crois qu’elle recouvre à peu près la liste de
228
nouvellement n’est-elle pas aussi remarquable que
celle
d’innovation ou d’invention ? La seconde peut tenir de la chance, un
229
ommes politiques, est d’autant plus frappante que
ceux
qui les attaquent sont des clercs patentés dont on pourrait penser qu
230
aire ? En résumé : vous n’aimez pas notre Europe,
celle
pour laquelle nous luttons depuis dix ans. Mais quelle autre Europe v
231
idental. 6. — Non, car l’Europe à faire n’est pas
celle
qu’on nous fait. Car on fait une Europe vaticane, dit la gauche. Car
232
et d’estimer correctement son âge mental, qui est
celui
des garçons jouant aux billes, justement. L’Amérique peut lancer dans
233
e secrète. On élimine l’agent de sa Diplomatie et
celui
de son Économie, puis le héros numéro un de son Armée. À la faveur de
234
énements, ceux-ci n’ayant pas d’existence hors de
celles
-là. Une nouvelle, ce serait donc ce qu’une agence rédige à l’occasion
235
sses, car l’échec du petit pamplemousse est moins
celui
des USA que celui de leur presse excitée. (Quand les Russes ratent, o
236
du petit pamplemousse est moins celui des USA que
celui
de leur presse excitée. (Quand les Russes ratent, on n’en sait rien,
237
elconque, loin de là ! Elle n’a d’autre souci que
celui
de son tirage. Mais elle décide elle-même, sans nulle enquête sérieus
238
teur en chef, le metteur en pages d’un journal et
celui
qui choisit les nouvelles à passer, les « corps », les emplacements,
239
it fait des dernières libertés qui nous restent —
celle
de ne pas croire ou de croire ce qui nous plaît, celle de douter, ou
240
de ne pas croire ou de croire ce qui nous plaît,
celle
de douter, ou de soupçonner un piège. En bref, la liberté de critique
241
s vertus, par malheur, ne sont pas éloquentes. Et
ceux
qui les cultivent se voient bientôt conduits dans un ordre d’action o
242
be, il en ira de l’aventure des Terriens comme de
celle
des Européens : celui qui vient d’ailleurs s’assure immédiatement un
243
nture des Terriens comme de celle des Européens :
celui
qui vient d’ailleurs s’assure immédiatement un avantage qu’il gardera
244
siècle seront nos ouvrages de science-fiction, et
ceux
qui se fondent sur nos doctrines sociologiques ; puis les écrits qui
245
ssor. Elle a toutes chances de se manifester chez
ceux
qui en sont réduits à commenter leur temps sans y être engagés par un
246
emble humain. Elle naît aussi, probablement, chez
celui
qui, s’étant risqué, a perdu ou ne croit plus à l’enjeu pour lequel i
247
des âges d’or nostalgiques. Le xxe siècle étant
celui
d’une accélération sans précédent depuis Tubal-Caïn et Prométhée des
248
les sentir en soi-même, et pour faire la leçon à
ceux
qui n’y croient plus, mais qu’on n’oserait pas attaquer si elles étai
249
maladie des chiens. La seule vraie décadence est
celle
qui se termine par une chute sans remontée possible. Qui peut donc sa
250
écadence ; il nous engage et nous provoque, quand
celles
-ci ne tendaient qu’à nous convaincre de la vanité de toute interventi
251
nement de sa culture) mettons qu’elle est égale à
celle
de la planète : littéralement tout englobante. Cependant, les raisons
252
es traditionnels : il doit être accessible à tous
ceux
qui le désirent, mais entouré d’obstacles et d’épreuves redoutables.
253
. Le quatrième est plus nettement externe : c’est
celui
de la fonction que l’ensemble français doit se mettre en mesure d’exe
254
lque chose. Fédération ou confédération ? À
ceux
qui ont coutume de poser cette question préalable, et qu’ils croient
255
Constitution) sont appelés fédéraux. À vrai dire,
ceux
qui insistent pour préférer à la fédération (« cette utopie ») une co
256
tégration, lié de deux manières contradictoires à
celui
de fédération. Pour les porte-paroles des Français d’Algérie, l’intég
257
ule solution qui soit commune aux deux problèmes,
celui
de l’Algérie et celui de l’Europe, n’est autre que la solution du féd
258
commune aux deux problèmes, celui de l’Algérie et
celui
de l’Europe, n’est autre que la solution du fédéralisme intégral. Ce
259
n désigne une doctrine réaliste. Elle affirme que
celui
qui ne peut pas le moins ne peut pas le plus. Elle constate que l’att
260
e avec l’antinomie fondamentale de notre siècle :
celle
du régime fédéraliste et du régime totalitaire. Ce sera pour le mois
261
. Elle appelle et suscite des partis à l’image de
celui
qui d’abord l’unifia. La tolérance mutuelle entre de tels partis est
262
C’est donc qu’il n’était pas le véritable Peuple,
celui
qui aura toujours raison, et qui ne peut être défini par une trompeus
263
, « terrorisé ». Il s’ensuit que le vrai Peuple —
celui
qui gronde — et que les vraies « masses », qui sont une part de ce 20
264
il faut bien en conclure qu’une vraie démocratie,
celle
du vrai Peuple, ne saurait être gouvernée que par une élite éclairée,
265
ement défini comme le contraire de la démocratie.
Ceux
qui demandent pourquoi sont traités de fascistes. Si un peuple décide
266
le régime élu par la majorité, mais au contraire
celui
que préconise une minorité éclairée. Si cette minorité prenait le pou
267
discussion des mythes hérités du xixe siècle par
celle
des structures politiques réclamées par le xxe siècle : centralisme
268
sérieusement ce qu’il veut dire. Croit-il, comme
celui
qu’il attaque, à une France idéale, personnifiée, différente des Fran
269
150 ans, la sagesse des pères se prolongeant dans
celle
des fils, et le plébiscite de 1852 dans celui de 1958 ? Sûrement non.
270
ans celle des fils, et le plébiscite de 1852 dans
celui
de 1958 ? Sûrement non. Penserait-il qu’une nation « adulte » n’a plu
271
s le vérifier. La France réelle, depuis 150 ans :
celle
de Napoléon en 1808, de la Restauration et de la Charte, de Gavroche
272
l, c’est qu’il peut nier l’existence de Dieu, non
celle
du Général. Or si Dieu n’existe pas, le monarque n’a rien au-dessus d
273
tandis que dans le monde où Dieu existe, qui est
celui
du général de Gaulle, la tyrannie totalitaire est impensable. J’enten
274
e que proclamaient ces hommes, et que beaucoup de
ceux
qui ont voté non, aux deux extrêmes, approuvent encore. Problème p
275
ème qui se pose au général de Gaulle n’est-il pas
celui
d’instaurer dans une France anticléricale et catholique un type de mo
276
onc plus homogène et plus valable ? Elle comptait
ceux
qui, hier, ont voté non, plus les gaullistes. L’anti-Europe de 1954 s
277
sitôt que j’ai insulté la Russie. C’est au nom de
celle
que j’aime qu’il me repousse et qu’il menace de m’exiler. Mais tel es
278
laisser vivre encore un peu dans le voisinage de
celle
qui doit me rejeter, car loin d’elle ma vie n’a pas de sens, c’est pr
279
« Höchste Lust » d’Isolde agonisante. Cependant,
ceux
qui ont lu Lolita avec plus d’amusement pervers que d’émotion, seront
280
que dans un langage plein de correspondances avec
celui
de mes analyses du Mythe, et d’une précision si constante qu’elle me
281
et que le seul exemple qu’en trouve le héros est
celui
de l’attrait « mortel » pour une nymphet. Une autre fois, parlant enc
282
pour la première fois… Ulrich dit brusquement : —
Celui
dont les excitations les plus fortes sont liées à des expériences qui
283
oute : L’homme qui tend à Dieu, selon Adler, est
celui
qui est privé de sens communautaire — selon Schleiermacher, celui qui
284
ivé de sens communautaire — selon Schleiermacher,
celui
qui est indifférent à la morale… Je dois t’aimer (pense Agathe) parce
285
e l’obscur, l’incomparable naissance de l’esprit,
celle
que l’homme connaît dans l’invention d’une pensée… Dans ces nuits-là,
286
nce cachée d’une logique totalement différente de
celle
qui dicte normalement les prises de position et gestes politiques, ma
287
tion, au sens kierkegaardien du terme. Elle exile
celui
qui la vit. Elle le destine à contester comme il respire tout ce qui
288
t par eux tous comme indicible. Tantôt, il plonge
ceux
qui le subissent dans un mutisme gémissant, tantôt il les excite à un
289
us commune, parce que la mieux communicable, soit
celle
qui fait écrire des romans, celle dont la contagion rarement mortelle
290
municable, soit celle qui fait écrire des romans,
celle
dont la contagion rarement mortelle mais délicieuse atteint tous ceux
291
on rarement mortelle mais délicieuse atteint tous
ceux
qui ont ressenti, un jour ou l’autre, la différence entre un désir se
292
re amoureux. La passion amoureuse est, de toutes,
celle
qui se prête le mieux au récit. La sexualité pure et l’amour du proch
293
outables, aux yeux de l’homme du xxe siècle, que
ceux
que la Science et l’Hygiène pourraient faire prononcer par l’État. La
294
romancier, l’essence même de l’obstacle excitant,
celui
qui ne dépendra jamais que de l’être même : l’autonomie de la personn
295
poussant à étudier la biographie de feu Staline —
celui
que vous remerciez d’avoir sauvé la France et réconforté le peuple al
296
tif est atteint. Un tout autre problème a surgi :
celui
du rôle et de la fonction de l’Europe dans le monde du xxe siècle, à
297
soit le souci majeur, la manie caractéristique de
ceux
que, sous le nom d’« Européens », vous désignez si légèrement au déda
298
n s’opère un jour, en dépit de vos craintes et de
celles
de Khrouchtchev, comment la rendre inoffensive ou bénéfique ? En fais
299
ungle modernisée qui ne connaît d’autres lois que
celles
de la photographie. République des caméras. On sait que la bonne cons
300
l’on nomme les exigences de l’actualité, qui sont
celles
des studios d’abord, mais aussi de l’opinion publique qui a le droit
301
t pour ces divertissements et qui en redemandent.
Ceux
d’Amérique comme naguère ceux d’Europe (souvenez-vous de certaines ph
302
qui en redemandent. Ceux d’Amérique comme naguère
ceux
d’Europe (souvenez-vous de certaines photos de Budapest) ont moins d’
303
es de ce temps. Ils illustrent, au même titre que
ceux
qu’on a cités d’entre les amis de Kassner, la seule littérature digne
304
e dans son essai le plus discursif, relativement,
celui
qui donne son titre au recueil, les mots-clés : mesure, forme, grande
305
our Schiller et surtout pour Schlegel symbolisait
celle
de l’antique et du moderne, Kassner répondrait aujourd’hui par l’oppo
306
cteur. On pourrait dire aussi que l’indiscret est
celui
qui se préoccupe de défendre plutôt que d’illustrer. Ainsi, selon Kie
307
ercice spirituel, assez analogue, il me semble, à
ceux
qu’imposent aux néophytes les moines bouddhistes de la secte du zen.
308
ce, le problème chrétien du Dieu-Homme, d’où naît
celui
de la personne, générateur de l’Occident. Problème ambigu s’il en fut
309
s sanctions, sur les trop nombreux visiteurs, que
celles
d’un bref regard pénétrant de malice, d’un éclat de voix sardonique o
310
on83. D’où sa curiosité avide et amusée pour tous
ceux
que l’on pouvait connaître, ne fût-ce que de réputation, qu’il avait
311
uxquelles Kassner recourt pour se différencier de
celui
que, pourtant, il ne cesse de tenir pour l’un des plus grands depuis
312
mi-siècle. Atteindre le but sans le voir (blind),
celui
qui peut cela ne doit-il pas avoir le but en lui-même ?… Le zen, le t
313
nt ainsi les représentations de l’ancienne Asie à
celles
de l’Occident chrétien. Ce qui lui semble, en fin de compte, relier a
314
l’orgueil puéril Qu’enfin, submergé par son gain
Celui
qui s’est approché des lointains Sera ce que son vol solitaire a con
315
derniers temps de sa vie a pu relier son monde et
celui
de Rilke. Par un suprême dépassement des concepts, au nom du Sens qui
316
ces paroles d’un maître zen sur le tir à l’arc :
Celui
qui est capable de tirer avec l’écaille du lièvre et le poil de la to
317
e cette réalité qui est liberté de la personne, à
celle
du zen qui est négation du personnel ? Ou plutôt, saurez-vous nous fa
318
autre gloire, n’est-ce pas, je garderai peut-être
celle
d’avoir été le plus grand promeneur de la littérature universelle, ma
319
nous permet de passer du monde magico-mythique à
celui
de la personne et de la liberté. 88. C’est là qu’on trouvera la scèn
320
e qui distingueraient ses buts ou ses méthodes de
ceux
de n’importe quelle nation moderne, ou de la social-démocratie europé
321
itesse, et le « meilleur système » est simplement
celui
qui va mener le plus vite au même but ! Avouez qu’il n’y a pas là de
322
! Avouez qu’il n’y a pas là de quoi se battre… À
ceux
qui croyaient voir quelque contradiction entre la politique de coexis
323
e plus. Quant au point de vue américain — non pas
celui
du State Department, qui est politique, mais celui de l’opinion réflé
324
elui du State Department, qui est politique, mais
celui
de l’opinion réfléchie et anxieuse — je le crois fidèlement exprimé p
325
uère moins de sophisme dans cet argument que dans
ceux
de K. ; guère plus de justification au défaitisme occidental qu’aux v
326
atégories de la politique sérieuse, non moins que
celles
de la « lutte idéologique ». Aux yeux des Américains, Ike représentai
327
en URSS d’ouvrages de caractère « idéologique »,
ceux
de Silone et de Spender par exemple. (Literaturnaya Gazeta, novembre
328
, et une telle demande ne peut être faite que par
ceux
qui n’ont rien compris au processus historique. » Au reste, on n’a pa
329
politique. Ce rôle est exactement le contraire de
celui
qu’un écrivain doit revendiquer. Le rôle de l’écrivain est de montrer
330
douteux profit de n’importe quel système, fût-il
celui
de nos États, c’est dans cette mesure-là que nous étions des « antis
331
’est irritant de redire tout cela, n’est-ce pas ?
Ceux
de ma génération en ont assez. Les plus jeunes ne connaissent de l’UR
332
Si la lutte idéologique n’est plus la guerre, si
celui
qui s’oppose n’est plus un belliciste, la première donnée du dialogue
333
est restituée : ne pas considérer comme criminel
celui
qui est d’un avis différent. Mais la seconde donnée manque encore, et
334
erre, et qui, sous les meilleurs prétextes, comme
celui
de nourrir les corps et de réduire les misères matérielles, boulevers
335
ovation représentent ensemble la culture vivante,
celle
qui peut rendre un sens à l’existence humaine. Or il se trouve que la
336
retrouver et rassembler leurs grands symboles : —
celles
du corps et de l’intellect (d’où la technique) dont s’occupe surtout
337
a technique) dont s’occupe surtout l’Occident ; —
celles
de l’âme vitale que l’Afrique a le mieux préservées (par le chant, pa
338
le chant, par la danse, le rythme, l’émotion) ; —
celles
de l’esprit enfin, apanage millénaire de l’Inde traditionnelle. C’est
339
is ceci dans la perspective qui nous est propre :
celle
des incidences du progrès sur les vraies libertés humaines. On nous d
340
ommé « le Coin des Huit Chemins ». Seul le trouve
celui
qui le cherche avec beaucoup de soins et de finesse, car aucune carte
341
ureuse et pénétrante du regard, situant en vérité
celui
qui voit, il arrive qu’on pressente l’invite d’une étape significativ
342
indique » sont les lieux les plus émouvants, pour
celui
qui chevauche à l’aventure au profond des forêts de l’âme occidentale
343
isible, ils s’arrêtèrent un instant, semblables à
celui
que l’enthousiasme a réveillé et qui ressuscite en plein enthousiasme
344
; chose étrange, c’est là ce qu’elles veulent, et
celle
qui ne rêverait pas de devenir malheureuse pour avoir été une fois he
345
e ce mutisme, et cette luxuriance verbale, est de
ceux
qui expriment à coup sûr les données essentielles d’une personne. Qu’
346
int de départ religieux ; si elle n’est pas cela,
celui
qui décide n’a été rendu fini que dans sa réflexion, il n’a pas pris
347
ocation exceptionnelle. Le mariage est interdit à
celui
qui doit être l’Exception : Au soldat qui monte la garde aux frontiè
348
, « qui est mensonge ». Et l’objet, le prochain —
celui
qu’il faut aider, selon la parabole évangélique — ne saurait être à s
349
l’expression de l’esprit en tout homme. Seul donc
celui
qui s’est connu et accepté en tant qu’esprit, celui qui de la sorte s
350
lui qui s’est connu et accepté en tant qu’esprit,
celui
qui de la sorte se trouve séparé de la communauté naturelle, — comme
351
is d’un seul, distingué par l’esprit, à chacun de
ceux
, quels qu’ils soient, également existants par l’esprit. Mais ici, com
352
tions de Nietzsche offrent un raccourci fidèle de
celles
de Kierkegaard, qui à leur tour répétaient celles de saint Paul lui-m
353
celles de Kierkegaard, qui à leur tour répétaient
celles
de saint Paul lui-même ! Sur le mariage, par exemple, voici chez Niet
354
s deux cas tu le regretteras », disait Socrate. «
Celui
qui se marie fait bien, mais celui qui ne se marie pas fait mieux »,
355
ait Socrate. « Celui qui se marie fait bien, mais
celui
qui ne se marie pas fait mieux », disait saint Paul, parlant en tant
356
aveugle d’un autre instinct, qui est le rival de
celui
dont la violence nous tourmente, que ce soit le besoin de repos, ou l
357
sacrifice et n’a, au fond, qu’une seule crainte,
celle
de s’éteindre elle-même… Mais la passion de la connaissance peut fai
358
oyé à l’impression. Dans Aurore, je relis : « Que
celui
qui veut tuer son adversaire considère si ce ne serait pas là une faç
359
n scène avec l’espèce de lenteur somnambulique de
celui
qu’hypnotise un objet merveilleux, dont il n’aura jamais épuisé la ri
360
èmes. La légende de Tristan date du xiie siècle,
celle
de Don Juan ne remonte guère qu’à la Renaissance, et ne s’est vraimen
361
olite et donc moderne. Les succès du héros, comme
ceux
de Casanova, ne sont pas seulement le fait d’un charme individuel. De
362
divin dans les religions antiques et primitives :
celui
qui est assez saint ou assez fort pour oser assumer les périls suppos
363
ions possibles : ce n’est pas ici mon sujet, mais
celui
d’un traité du mariage.) Si au contraire le sentiment, dans son essor
364
as une pomme. Et qu’elle en voudra mortellement à
celui
qui ne l’aura pas « prise », s’étant contenté de la « goûter ». Dona
365
ée n’est pas seulement la réalité du couple, mais
celle
de l’objet désiré. La plupart des rêveries érotiques échouent devant
366
vante de l’instant, de la durée et de l’éternité.
Celui
qui a résolu ce problème dans sa vie est seul en mesure de condamner
367
r qu’il soit faux. Il n’en fait pas moins ricaner
ceux
que l’ennui, la satiété, la jalousie, la trahison, les frustrations o
368
Prenons ici l’exemple élémentaire et primordial,
celui
de la vie d’une cellule. On sait aujourd’hui que cette vie dépend de
369
Un virus est un composé de substances analogues à
celles
de la cellule, sauf en ceci qu’il ne renferme qu’un seul des acides n
370
me lecteur de français) j’avais coutume de dire à
ceux
qui me questionnaient sur les motifs de l’adhésion réelle de tant d’A
371
s l’extérieur, vers les vérités constituées : car
celles
-ci ne sont pas « vraies » (si elles sont souvent utiles), et leur ren
372
ire » vienne déjouer la logique du mythe. 126. «
Celui
qui ne sait pas trouver le chemin qui conduit à son idéal, vit de faç
373
possible. Nous ne discuterons pas ses raisons, ni
celles
que lui oppose l’Occident. Nous sommes en présence d’un fait qui dépa
374
uchtchev. Nous lui demandons en retour, avec tous
ceux
qui veulent la paix : « Pourquoi tuer deux-cents-millions d’hommes et
375
Ouest et se mettraient au travail, dans l’espoir.
Ceux
qui retrouvent l’espoir ne veulent plus que la paix, et cette volonté
376
vrier 1963)bg On ne sait pas toujours qui sont
ceux
que l’on lit dans les revues françaises, qui, très généralement, donn
377
une propagande officielle monotone et stupide »,
celle
d’Ulbricht, qui rend « malaisée la tâche de convaincre ». (Convaincre
378
acculant à la misère ou à une révolte désespérée
ceux
qui n’avaient pas les moyens de partir…, ou trop de ce sens des respo
379
st n’était trop souvent démenti par la sottise de
ceux
qui croient servir une cause. Dans Le Figaro littéraire du 15 décembr
380
t un mur à Berlin, ce mur n’est rien. Seul compte
celui
qui se trouve dans le cœur des Allemands de l’Ouest, qui abandonnent
381
ue occidentale, s’imaginait que la première était
celle
de M. Spaak et des Communautés ; et que la seconde était celle des ad
382
paak et des Communautés ; et que la seconde était
celle
des adversaires de l’Europe des Six, des mondialistes et des neutres,
383
tervenues. Ce chassé-croisé n’a pu surprendre que
ceux
qui croient ce qu’il leur convient d’imaginer que l’autre feint de fe
384
ue à des éclats d’anarchie névrotique. Et quant à
ceux
qui déclarent que le Marché commun vise en réalité à ce type d’unité,
385
mbres, c’est un problème parfaitement homologue à
celui
que la Suisse a résolu, avec ses vingt-cinq petits cantons souverains
386
récise du modèle que l’on dit ne pouvoir imiter. (
Ceux
qui invoquent des raisons de prestige, c’est quelquefois parce qu’ils
387
aussi l’imagination et la faculté de prévision de
ceux
qui faisaient notre opinion. L’union de l’Europe s’avérait bel et bie
388
de la Croix-Rouge lors des conflits européens et
celles
de la diplomatie suisse lors de la guerre d’Algérie, l’existence d’un
389
’absolutisant jusqu’à devenir tabou — traître est
celui
qui ose la discuter — a changé de nature et de finalité. Sortie de l’
390
stoire, en quelque sorte, elle n’est plus du tout
celle
que les puissances garantirent en 1815, elle a perdu ses bases contra
391
réussi jusqu’ici sans subordonner son économie à
celle
d’un groupe de nations européennes. Elle tient à garder libres ses éc
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andes villes, soit définitivement interrompu pour
ceux
de la Mégalopolis qui menace de couvrir le Plateau, de Genève à Roman
393
garten, de Marignan ou du xviiie siècle, ni même
celle
de 1848 qu’il s’agit de sauver aujourd’hui, mais bien la Suisse réell
394
ens deux autres motifs à cette espèce d’embarras.
Ceux
qui se réclament très haut de nos traditions savent bien que chacun s
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n jeu. Je ne suis d’accord, pour ma part, ni avec
ceux
qui refusent l’Europe en prétextant notre neutralité ni avec ceux (be
396
t l’Europe en prétextant notre neutralité ni avec
ceux
(beaucoup plus rares d’ailleurs) qui voudraient que la Suisse renonce
397
s gens qui défendent leur position, mais bien par
ceux
qui créent des positions nouvelles. Ce que les Européens peuvent atte
398
une capitale, mais par des propriétés analogues à
celles
qui distinguent les corps et les combinaisons chimiques, et par des t
399
es « a souvent un caractère imposant qui manque à
celle
des empires. Elle est davantage l’histoire de la liberté ». Le grand
400
il coïncide, par hasard, et pour l’instant, avec
celui
de notre population. Question : la Suisse ne sera-t-elle pas, d’ici
401
ncipes du fédéralisme et ses méthodes d’analyse :
celles
-ci marquent avec précision le moment où les instruments de certaines
402
e sur d’autres bases et selon d’autres règles que
celles
d’un fédéralisme plus ou moins bien compris d’ailleurs, amélioré, dén
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couvrent, en quittant l’autoroute, le vrai pays —
celui
que nous seuls pourrions dénaturer. Trois décis d’un petit vin blanc
404
peuple à la belle tête taillée en bois d’arolle,
celle
de Ramuz, comme chez un patricien de l’intelligence, Jacob Burckhardt
405
arfois libératrice, il a fallu tout cela pour que
celui
qui avait été l’un des « phares » baudelairiens de notre adolescence
406
parlons des fêtes que nous rêvons d’organiser. «
Celle
par exemple qui devrait durer trois jours dans une vaste demeure aux
407
sa religion. Il en tirait une morale ombrageuse,
celle
qui réglait absolument sa vie, et des décrets d’excommunication peu p
408
élépathie. Parfois, on arrangeait une fête (comme
celle
qui fut dédiée au Nombre 21) ou une exposition, ou une vitrine (Breto
409
e vitrine (Breton, Seligmann et Duchamp signèrent
celle
qui annonçait ma Part du diable ). J’allais chez lui, il me lisait d
410
: son Augustin à lui était sans nul rapport avec
celui
qu’avait canonisé « l’Obscurantisme ». Je crois avoir été, de ses a
411
s susciter les fées du bruit et de la vitesse, ou
celles
de la lenteur et du silence ? Mais notre ami le Dr M. V., qui passe l
412
t. Ce qui nous manque ici, c’est un jeu d’échecs.
Celui
dont Duchamp se sert pour ses problèmes est trop petit pour jouer à d
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chèque, mais trois ou quatre fois plus grand que
ceux
qu’on voit. — Je l’ai fait entièrement de ma main, sauf le papier. —
414
après-guerre où le mot fit la fortune soudaine de
ceux
qui nous laissaient la chose148. Et je voudrais enfin rappeler que le
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et dans l’action d’un grand nombre de résistants,
ceux
qui précisément vont animer le fédéralisme européen de l’après-guerre
416
rcée. Je voudrais comparer cette action non pas à
celle
d’un général qui conquiert une position, ni d’un législateur qui impo
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ture, ni même d’un remède qui guérit, mais bien à
celle
d’une concentration concertée de facteurs psychiques et psychologique
418
La volonté de réunir tous les peuples européens,
ceux
de l’Est compris, est affirmée comme seul moyen de prévenir le péril
419
de ces forces en une démonstration spectaculaire,
celle
qui devait se réaliser quelques mois plus tard à La Haye. Une conv
420
ique (van Zeeland, Serruys) se rencontraient avec
ceux
de l’UEF (Brugmans, Silva, Voisin) et constituaient un « comité de li
421
te suivraient.) Dilemme classique on le voit, que
celui
qui s’énonce en termes de maxima contradictoires dont il s’agit d’opt
422
du point de vue des fédéralistes, c’est-à-dire de
ceux
pour qui l’union de l’Europe était le souci primordial ou unique. (Le
423
, dans cette grande salle des Chevaliers, qui est
celle
d’un très vieux Parlement, mille personnes, mille Européens. Je recon
424
nt en trois sections. Je ne pus en suivre qu’une,
celle
dont j’avais la charge. Les débats sur mon rapport (création d’un Cen
425
n s’en remette pour la culture aux gouvernements (
ceux
du Pacte de Bruxelles) mais l’ancien ministre de l’Éducation Kenneth
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droits de la personne, antérieure et supérieure à
ceux
de l’État ; de revendiquer une forme d’union fédéraliste, c’est-à-dir
427
. L’unionisme, doctrine (ou refus de doctrine) de
ceux
qui espéraient faire l’Europe sans casser des œufs, resta seul maître
428
rtout d’André Philip, vient désormais s’ajouter à
celle
des libéraux, principaux auteurs des analyses et projets formulés par
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et de l’acier inaugurera une stratégie nouvelle :
celle
qui consiste à organiser d’abord l’économie avec l’idée que l’union p
430
s 1930. Mais ceci est une autre histoire. Ce sera
celle
des vingt ans qui viennent. Et certains, que je connais, la préparent
431
ement de faire entendre la voix de l’Europe comme
celle
d’une famille réunie. Nous devons, ici et maintenant, décider que soi
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vite ; car le choix de la fin implique évidemment
celui
des moyens adéquats ; mais à l’inverse, si vous vous trompez de moyen
433
ués par la nature des tâches, leurs dimensions et
celles
de la communauté la plus apte à les administrer. En un mot, il faut a
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diversités que nous devons respecter ne sont pas
celles
de ces États-nations nés d’hier : elles les traversent et les divisen