1
le — bien plus que le sex-appeal — qui inspire le
cinéma
, les magazines féminins, et leurs courriers du cœur. Je constaterai m
2
t sa politique ou son tourisme, ses industries du
cinéma
ou de l’édition, ses laboratoires nationaux, certains groupes d’intér
3
u’elle menace de ruiner l’importante industrie du
cinéma
, et qu’elle bouleverse les conditions d’une campagne présidentielle a
4
: autos, radios, frigidaires et conserves ; et le
cinéma
au coin de la rue. Ils ont retrouvé la Nature, pendant le week-end ou
5
ois » économiques, les remous de la politique, le
cinéma
, ou l’Art lui-même. Quant à savoir si cela représentera un progrès ou
6
in derrière). Et je ne parle même pas du monde du
cinéma
, où la minute de pellicule multipliée par le tour de poitrine vaut un
7
a jeunesse, modes passagères dont l’édition et le
cinéma
me paraissent profiter davantage que la société n’en pâtit. En revanc
8
s’illuminent dans le faisceau des projecteurs de
cinéma
? Je suis assis sur la tribune, derrière deux rangs de dos et de nuqu