1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 s frappantes analogies. Sans nous attarder sur la coïncidence qui fait d’Hamlet un prince danois — et l’on peut rêver là-dessus — r
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
2 reux. Si l’on veut rendre compte à la fois de ces coïncidences et de ces contradictions, il faut remonter à notre dialectique de la
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
3 s Sartre, au même instant, par une extraordinaire coïncidence (la déstalinisation ayant commencé, déclare-t-il, « par une progressi
4 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
4 dieu ou d’un héros, sacrifice, miracle, massacre, coïncidence extraordinaire ou « hasard » prévu par les rites. Eliade conclut de l
5 emple de « signe » donné par le calcul ! Heureuse coïncidence du sens et de l’arpentage ! Mon candidat J’ai dit pourquoi l’Eu
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
6 éros : Ulrich et Agathe, frère et sœur. Admirable coïncidence , qu’il faut bien attribuer à la logique du Mythe, en l’absence de tou
6 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
7 aux, perd son sens et tourne au cauchemar, par la coïncidence absurde de deux « sens » qui se détruisent en se touchant. Fidel Cast
7 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
8 ient déclarées un an auparavant, par une curieuse coïncidence  à la fois dans le temps et dans l’espace : à la fin de l’été et en Su