1 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
1 aux Finances, au Parlement, aux présidents de ses commissions , que tel ou tel projet « sert le pays », c’est-à-dire sert sa politiq
2 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
2 t pas à pas. Prenez notre Comité central et notre Commission de contrôle. Ils forment ensemble un centre dirigeant. C’est un des c
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
3 ourné. Aussitôt, Venise réagit : elle convoque la Commission des Épices. « Les Vénitiens, aussi intéressés que l’Égypte à traverse
4 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
4 x réceptions ou à l’opéra le travail nocturne des commissions . C’est elle qu’il s’agirait de rendre sensible si l’on voulait décrir
5 es pleureurs dans l’eau sombre… Été ce matin à la commission économique, en curieux. Le président Hopkinson MP me prie de venir si
6 e la partie culturelle du congrès projeté : 1° La commission culturelle, loin d’être une simple adjonction ornementale aux commiss
7 loin d’être une simple adjonction ornementale aux commissions « sérieuses » (la politique et l’économique), devait assumer le rôle
8 cette vue, le comité de liaison devait charger la commission culturelle de rédiger le préambule définissant les buts à long et à c
9 de Madariaga : « Je consacrerai volontiers (à la Commission ) un temps qui, à dire vrai, me manque. » Retinger m’avait appuyé fort
10 r l’homogénéité nécessaire des rapports des trois commissions  ». C’était à quoi je tenais surtout. Ce point marqué et qui pouvait ê
11 pleins de mérites eux aussi… Je rappelais que la commission culturelle travaillait depuis deux mois sur mon texte, et n’avait jam