1 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
1 ter, ou faut-il au contraire viser cette forme de compromis que fournit la notion nouvelle d’optimum ? Faut-il se faire soit mons
2 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
2 ion objective, et l’Inde a proposé des mesures de compromis . L’esclavage devient donc tabou : ce n’est pas un scandale utilisable
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
3 voici l’échéance de septembre. Et tout peut être compromis . Il se trouve que la France, une fois de plus dans l’histoire, est au
4 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
4 pour les carnages massifs. Néanmoins, vous voilà compromis et condamné d’avance aux yeux de l’opinion si jamais votre Europe fai
5 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
5 provoqué les guerres mondiales n’a pas seulement compromis ou perdu nos positions de puissance politique ; il déprime et combat
6 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
6 r exemple, finit toujours par se résoudre dans le compromis concret qu’on nomme un prix. Mais deux religions, deux idéologies, ne
7 horreur de la vraie politique, qui est l’art des compromis heureux. Il en résulte que la différence entre un régime totalitaire
8 décrets. Force est donc de s’entendre sur quelque compromis . — Mais alors, il n’y a plus de politique s’écria ce député consterné
7 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
9 r la séance de clôture du Congrès fit accepter un compromis  : je lirais le Message, mais j’omettrais la petite phrase incriminée.