1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 le. L’essor de l’industrie nous a valu un certain confort matériel, mais aussi les problèmes sociaux. Nous traversons l’Atlanti
2 lement l’augmentation de notre sécurité, de notre confort , mais aussi et peut-être surtout, celle de nos risques personnels, de
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
3 echnique aux seuls motifs prochains du profit, du confort et de la force militaire. Privée d’objectifs à long terme, elle ne pe
4 dépend toujours plus de l’économie nationale ; le confort , de la statistique (niveau de vie moyen d’une nation) ; et les « néce
5 nique ne peut rien pour l’Esprit, ni le défaut de confort n’a rien pu contre lui. Je dis seulement qu’elle peut nous jeter dans
6 squ’à nos jours, prouve que l’appât du gain ou du confort n’est presque jamais leur motif. (Cf. D. Brinkmann, Mensch und Techni
3 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
7 té. Les grands débats seraient entre partisans du confort ou du sens de la vie… On parlerait, en somme, des mêmes choses qu’auj
4 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
8 des capitaux aujourd’hui), secret des banques et confort hôtelier, libres pour travailler et neutres à jamais. On arrêterait l
9 rité des masses modernes, en Europe et ailleurs : confort technique dans une belle nature, paix assurée et pas d’Histoire. Mais
5 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
10  ? Le prix de certaines libertés, ou le prix d’un confort toujours accru ? Ces dilemmes se posent aujourd’hui à tous les peuple